Jusqu’en 1869, il n’est pas possible pour un ouvrier waremmien de faire quotidiennement les trajets de Waremme à Liège, vu le prix du ticket. En effet, le trajet aller-retour coûte 2 francs, soit le salaire de 2 journées de travail sans nourriture. C’est pourquoi il n’utilise que très rarement ce moyen de transport.
En 1940, la perche de tir des Francs-Tireurs de Waremme (successeurs de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme) se dresse dans le Pré MOERMANS, à Longchamps (non loin de la future école communale).
Une ancienne voiture de chemin de fer vicinal leur sert de vestiaire et de buvette.
Le 24 août 1877, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond se fait livrer par chemin de fer, en son château de waremme-Longchamps, un socle en marbre, par la « Compagnie Anonyme des Bronzes » de Bruxelles.
Vers 1920, l’ouvrier au chemin de fer WARNANT F. habite rue Couchoul (qui deviendra plus tard la rue Hubert Krains) à Waremme, près de la fabrique de cigarettes de GILET Ferdinand.
Avant 1965, la Ruelle Breneuse, dite « Li Rowale As Strons » (elle est souvent souillée d’excréments !) est située entre les bâtiments du Collège Saint-Louis et le talus du chemin de fer, à Waremme.
Le 26 septembre 1984, MEAN Clément décède à Oreye. Il a épousé l’institutrice à l’école maternelle d’Oreye, BONNECHERE Marie-Louise. Il a été employé au Chemin de Fer.
Le 21 décembre 1921, MEAN Clément voit le jour à Montegnée. Il épousera BONNECHERE Marie-Louise, institutrice à l’école maternelle d’Oreye. Il sera employé au Chemin de Fer.
Le 7 octobre 1865, DELARBRE Emile-Louis-Joseph voit le jour à Limont. Il épousera BAILLIEN Marie, native d’Oreye. Il sera percepteur au Chemin de Fer.
Le 18 février 1887, MARCHAL Emile voit le jour à Oreye. Il épousera MATERNE Désirée, native de Pousset. Il sera ingénieur des mines et fera toute sa carrière aux Chemins de Fer.
En 1915, CHABOT Arthur est ouvrier au chemin de fer à Berloz.