Des rues doivent être pavées (Waremme)

En novembre 1946, des chemins empierrés doivent être pavés à Waremme, car ils sont boueux en hiver et poussiéreux en été:

  • rue Emile Hallet
  • rue Sous-le-Château
  • rue Zénobe Gramme
  • rue des Fontaines
  • rue du Perron

Le coût des travaux est estimé à 2,5 millions de francs.

Du béton sur la voirie de Crisnée

Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.

Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.

Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.

Les Hameaux de Celles

Vers 1810, les hameaux de Celles, Labia, Saint-Anne, La Folie, … ne sont pas reliés entre eux par des chemins empierrés, mais par des chemins de terre. Durant les mois d’hiver, la neige et la pluie les rendent impraticables. 

Les routes de Pousset

Vers 1855, les routes de Pousset, vers Bovenistier, vers Oreye et vers Remicourt, sont empierrées.

La réparation des voiries coûte cher (Waremme)

Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:

  • le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
  • par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
  • par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
  • Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866

Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
  • Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866

Les péages sur les routes (Liège – Hesbaye)

En 1866, il y a 129 barrières de péage sur les routes de la Province de Liège. Elles lui rapportent, environ, 260.000 francs belges de taxes par an. Une partie de ces taxes permet d’entretenir les routes, l’excédent permet d’en construire de nouvelles.

Cependant, la Hesbaye est très peu dotée de chemins empierrés. Plus de la moitié de l’année, les paysans, les attelages et les voyageurs s’enfoncent de le bourbier des chemins de terre.

Le droit de barrière est rétabli à Waremme

Le 9 novembre 1843, le conseil communal de Waremme décide de rétablir un droit de barrière.

Les chemins pavés et empierrés de la commune s’étendent sur plus de 6.000 mètres. Depuis l’établissement de la station de chemin de fer, la circulation sur ces chemins est devenue considérable. Le conseil communal décide donc :

– Qu’il sera perçu un droit de péage ou de barrière sur les chariots, Charrettes, tombereaux, équipages et voitures de toute espèce, chevaux et mulets attelés ou non, ainsi que sur les bœufs ou ânes attelés, appartenant à des personnes non domiciliées dans la commune de Waremme qui circuleront sur les chemins pavés ou empierrés de cette commune.

– Le droit sera du à l’entrée et non à la sortie.

– Cinq bureaux seront installés :

  • Le premier à l’entrée de la commune, sur la route de Saint-Trond entre la maison MIGNOLET et le pont du Geer
  • Le second au chemin de Liège, près de la maison Renier
  • Le troisième, sur le chemin de Saive entre le chemin du pré Maleau et l’extrémité nord du viaduc du chemin de fer
  • Le quatrième sur le chemin de Huy près de la maison DERUISSEAUX
  • Le cinquième sur le chemin de Longchamps entre la maison GAYE et la station