Empierrement des chemins (Hollogne-sur-Geer)

Le 6 mai 1842, le collège échevinal de Hollogne-sur-Geer décide de faire empierrer les chemins intérieurs de la commune et celui allant vers Saives, jusqu’à son intersection avec la Chaussée Romaine. 

Monsieur MOESSE de Latinne réalisera les travaux.

Réparation des chemins (Hollogne-sur-Geer)

Le 1er décembre 1824, la commune de Hollogne-sur-Geer décide d’acheter des matériaux pour réparer les chemins délabrés de l’entité.

Le budget des travaux est estimé à :

  • 2400 mannes de pierrailles (à 2,5 centimes la manne) :    60 florins
  • Transport des pierrailles depuis Latinne (3 cent./manne):  72 florins
  • 64 journées de main-d’oeuvre (à 28 centimes/journée):    18 florins

                                                                                     Total:  150 florins  

Les Hameaux de Celles

Vers 1810, les hameaux de Celles, Labia, Saint-Anne, La Folie, … ne sont pas reliés entre eux par des chemins empierrés, mais par des chemins de terre. Durant les mois d’hiver, la neige et la pluie les rendent impraticables. 

Réparation des chemins de Lamine

Le 19 avril 1915, le conseil communal de Lamine décide d’accorder une indemnité journalière de 2 francs, aux ouvriers sans travail qu’elle utilise pour réparer les chemins de la commune.

L’entretien des chemins (Belgique)

En 1841, une loi invite les communes belges  à « assurer une bonne viabilité de leurs chemins ».

Premières mesures de Guillaume Joachim (Waremme)

En septembre 1914, dès son entrée en fonction, le bourgmestre « ad interim » de Waremme, JOACHIM Guillaume, fera adopter par le conseil communal, une série de mesures destinées à assister ses administrés, notamment:

  • affectation, pour un salaire de 2 francs par journée de 8 heures, de 200 ouvriers sans ressources, aux travaux de réfection des chemins;
  • vote d’emprunts, à la Société du Crédit Communal, des sommes nécessaires au paiement des employés communaux et à la rémunération des femmes de soldats;
  • octroi de subsides au Bureau de Bienfaisance;
  • octroi de secours aux chômeurs involontaires;
  • instauration du Comité de Secours et d’Alimentation.

Des barrières sur les chemins communaux (Waremme)

Le 16 septembre 1843, le conseil communal de Waremme prend un arrêté sur les barrières à mettre sur les chemins en pierres de la commune.

Waremme veut paver ses chemins

Le 6 janvier 1863, le Conseil Communal de Waremme adresse une demande au Gouvernement et à la Province, pour obtenir un subside de 17.000 francs réparti sur 3 ans, pour paver 1046 mètres de chemins dans la commune.

Le devis de ces travaux s’élève à un total de 33.276 francs.

Waremme installera des poteaux indicateurs

Le 23 octobre 1862, le Conseil Communal de Waremme accepte le placement de cinq poteaux indicateurs aux intersections des chemins de ville, dans la mesure où les fonds communaux le permettent.