Le châtelain de Waremme tend une embuscade

Le 25 août 1311, DE HERMALLE Henri, chevalier du parti des Waroux, tombe dans une embuscade tendue par le châtelain de Waremme, Guillaume, ses frères Arnold et Butor et quelques autres compagnons. Criblé de blessures, DE HERMALLE Henri est laissé pour mort dans la campagne. Mais il n’est qu’évanoui. Il jure de se venger.

Gilles de Ferme vend des terres entre Axhe et « le Vivier »

En 1273, l’avoué de Grand-Axhe, le chevalier DE FERME Gilles (de Faimes) vend une pièce de terre, située entre Axhe et « le Vivier ». L’acheteur est le trésorier du Val Saint-Lambert à Liège.

En tant qu’avoué, DE FERME Gilles défend les intérêts du « propriétaire » : l’Abbaye Saint-Denis de Paris. Il est, en quelque sorte, le gestionnaire ou le gérant des biens de Saint-Denis à Grand-Axhe. Mais dans cette vente, il semble que les terres lui appartiennent en propre.

Guillaume 1er de Jeneffe vend des terres (Corswarem)

Le 28 février 1254, le chevalier DE JENEFFE Guillaume Ier de Jeneffe vend à l’Abbaye du Val-Notre-Dame un fief de deux bonniers de terre arable situé à Corswarem.

Le Chevalier Libert Lexhy de Waroux, châtelain de Waremme

En 1219, le châtelain de Waremme est le Chevalier LEXHY DE WAROUX Libert, de la lignée des DE DAMMARTIN, qui cumule également les titres de de Geneffe (de Jeneffe), de Limont et de Jehay.

Il a épousé la gracieuse DE HAMAL Nathalie, fille du très fortuné DE HAMAL Guillaume. Ils auront plusieurs enfants. L’aîné est BAUDUIN dit « Le Vieux ».

Il a adopté un blason représentant un lion rampant de sable sur fond d’argent.

Le Chevalier Francon de Waremme part en Croisade

En 1217, le Chevalier (DE) FRANCON de Waremme décide de partir pour la cinquième croisade (1217 – 1221), défendre la terre de Jérusalem contre les Musulmans. Peut-être a-t-il été convaincu par Foulques, venu prêcher cette croisade à Liège le 19 mars 1213.

Pour financer son départ, avec le consentement de sa femme HAWIDE, il lègue « en viager » sa terre féodale de Waremme à  l’abbaye du Val-Saint-Lambert (pour en jouir après leur mort à tous deux), moyennant une rente de 12 muids d’épeautre.