Mort du curé Delvaux (Hodeige)

Le 17 avril 1871, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, décède à Hodeige, à l’âge de 62 ans. La paroisse lui fera élever un monument funéraire dans le cimetière du village, près du chœur de l’église. Sur cette pierre tombale l’inscription suivante sera gravée:

« A LA MEMOIRE DU Rend Mr JEAN-LOUIS DELVAUX CURE A HODEIGE DEPUIS 1834. Y DECEDE le 17 AVRIL 1871 A L’AGE DE 62 ANS. LA COMMUNE RECONNAISSANTE. »

Mort de Dieudonné Printhaye (Hodeige)

Le 20 novembre 1749, le curé de Hodeige, l’abbé PRINTHAYE Dieudonné, décède à (?). Il sera enterré dans le chœur de l’église du village.

Sa pierre tombale portera l’inscription « Hic Jacet Reverendus Admodum Dominus D Deodatus Printhaye Pastor in Hodeige. Necnon Concilii Hozemontensis Decanus Meritissimus. Qui Obiit 20 9bris 1749. Requiescat In Pace« 

Statue de Saint-André (Hodeige)

En 1550, une statue de Saint-André, en noyer peint et doré, de style gothique, est installé à droite du chœur de l’église de Hodeige, adossée à un pilier. Elle coûte 25 florins.

Les Apôtres à Hodeige

En 1538, des statues de 10 Apôtres sont placées dans le chœur de l’église de Hodeige, sur la « trabes », à côté de celles de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Ces statues coûtent 57 florins, plus 70 florins pour leur peinture et celle des treillis.

Une clôture pour l’église (Hodeige)

En 1537, le clôture (treillis) est installée dans le chœur de l’église de Hodeige. Elle est divisée en 3 compartiments, dont celui du milieu qui constitue une porte à 2 battants. La partie inférieure, jusqu’à la hauteur de quelques pieds au-dessus du pavement, se compose, selon l’usage, de panneaux pleins, tandis que la partie supérieure jusqu’à la « trabes » est ajourée. Vu le prix relativement élevé de 74 florins (soit 33 pour la matière première et 41 pour la main-d’œuvre), ce travail doit être très soigné et ornementé.

Un tréfanon pour l’église (Hodeige)

En 1536, un « tréfanon » est installé dans le choeur de l’église de Hodeige. Il coûte la somme de 50 florins (dont 18 pour la matière première et 32 pour la main-d’oeuvre).

Par « tréfanon », il faut entendre non seulement la poutre, appelée « trabes » ou « tref », qui repose sur les 2 piliers du chœur soutenant l’arc triomphal, mais encore le calvaire, composé d’un Christ en Croix (reposant par sa partie inférieure sur la « trabes » et attaché par sa partie supérieure avec un chaîne à l’arc lui-même) et de 2 statues, de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean, posées à droite et à gauche de la Croix.

Des plinthes pour l’église (Remicourt – Liège)

Le 19 septembre 1921, des plinthes en granit, fournies par FINCOEUR Thomas de Liège, sont placées par Monsieur STAS à la base des murs intérieurs du chœur de l’église de Remicourt.

Un calvaire pour le chœur (Remicourt)

Le 17 septembre 1921, profitant de la présence des échafaudages des peintres qui travaillent dans l’église, le curé de Remicourt installe un calvaire dans le choeur. Il a été offert par quelques familles du village.

Un nouveau maître-autel pour l’église (Remicourt)

Le 21 décembre 1920, un nouveau maître-autel, réalisé par PIROTTE Emile de Liège, est installé dans le chœur de l’église de Remicourt. La tabernacle coffre-fort, garni intérieurement en soie de Damas, rideaux à franges et glands d’or, est placé entre deux bas-reliefs en cuivre poli et verni qui représentent « Le Sacrifice d’Abraham » et « L’Offrande de Melchidésech ». Il est surmonté d’un dais avec calvaire. La mensa, en pierre bleue, porte trois médaillons figurant la Foi, l’Espérance et la Charité. Ce travail coûte 15.000 francs.

De nouveaux vitraux pour l’église (Remicourt)

Du 18 au 21 mars 1914, trois vitraux sont installés dans le chœur de l’église de Remicourt. Chaque vitrail illustre quatre scènes:

  • Celui du milieu illustre la vie de Jésus: naissance / atelier de Nazareth / Jésus mourant sur la croix / Jésus glorifié
  • Celui de droite, le Sacré-Coeur de Jésus: Jésus bénissant les enfants / Jésus et les disciples d’Emmaüs / Apparition du Sacré-Coeur à Marguerite / Marie / la glorification du Sacré-Coeur
  • Celui de gauche, la Saint Vierge Marie: Vierge offrant un rosaire à Saint-Dominique / le scapulaire au Bienheureux Simon Stock / Vierge apparaissant à Bernadette de Lourdes / glorification de la Sainte-Vierge

Ils ont été réalisés par le peintre-verrier BARY C. de Jette, pour un prix de 3.000 francs, payé pour 1/3 par les paroissiens et pour 2/3 par des extérieurs à la paroisse.