Formation aux matériaux composites (Waremme)

Le 15 juin 1987, le centre pour jeunes de Waremme, C.R.I., entame la formation de 15 jeunes, chômeurs ou émargeant au minimex, à une technique toute nouvelle: les matériaux composites.

L’ASBL « Agence Locale pour l’Emploi » (Waremme)

En 2010, le siège de l’ASBL « Agence Locale pour l’Emploi » (ALE) est situé au n° 4 de la Place du Marché à Waremme.

Elle a pour but d’aider, principalement les chômeurs de longue durée, mais également les bénéficiaires d’allocations du CPAS, à renouer avec le monde du travail et à obtenir un complément de revenu à leurs allocations en réalisant des petits travaux et services à la population.

Le comité est composé de:

  • VANDORMAEL Luc, président
  • HANNOSSET Florent, secrétaire
  • Madame THOMAS M., responsable

La crise frappe durement Waremme

En 1933, la crise économique plonge la région dans le marasme. La Commission d’Assistance Publique de Waremme doit procéder à des distributions de charbon aux chômeurs non assurés et aux autres.

Recours à la Commission d’Assistance Publique (Waremme)

En 1931, en raison de la crise économique, la Commission d’Assistance Publique de Waremme décide que les secours seront réservés aux seuls chômeurs non assurés, les autres émargeant aux caisses de chômage.

Création du Comité de Secours et d’Alimentation (Waremme – Liège)

Le 3 mai 1915, un « Comité de Secours et d’Alimentation » est créé dans la province de Liège. Il aide les chômeurs par un système d’allocations, distribue de la soupe aux nécessiteux et organise des repas scolaires.

Le « Jardin Communal » de Guillaume Joachim (Waremme)

En 1914, le bourgmestre de Waremme s’enfuit et JOACHIM Guillaume prend sa place. Il va prendre l’initiative d’un « Jardin Communal ». Des terrains situés entre Waremme et Hartenge son utilisés à cet effet. L’objectif est double :

– la culture de pommes de terre, poireaux et autres plantes potagères qui va permettre à l’administration communale et au Bureau de Bienfaisance de préparer la soupe qui sera distribuée gratuitement aux élèves des écoles (soupe scolaire) et aux plus démunis (soupe familiale) ;

– l’occupation d’une quarantaine de chômeurs pendant une bonne partie de l’année, ce qui leur permettra d’échapper à une éventuelle déportation en Allemagne.

Les Remparts de Waremme sont rasés

En octobre 1914, désireux d’occuper les chômeurs involontaires de la commune, afin qu’ils ne soient pas contraints de partir travailler en Allemagne, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, décide de les mettre au travail dans le grande entreprise de terrassement des remparts de la ville. Il engage donc 200 ouvriers qu’il paie 2 francs par journée de 8 heures de travail, pour effectuer le travail colossal de retirer 6.145 m3 de terre à la pelle et à la pioche. Ces travaux sont effectués avec l’accord de l’occupant allemand.

La disparition des remparts permettra à la ville de s’agrandir. Des chemins droits comme des sillons seront tracés à travers prés et champs, en bordure de la ville. L’une de ces artères est appelée « avenue des Tilleuls ». Progressivement, des maisons seront construites le long de ces chemins.