Fermeture du cinéma Lucky (Remicourt)

En 1969, la cinéma « Lucky » de Remicourt ferme définitivement ses portes. (La salle et le café sont toujours exploités)

Le cinéma Lucky (Remicourt)

En 1967, suite à une séparation avec sa femme, MIEVIS Louisa, PIROTTE Léon reprend l’exploitation du cinéma « Lucky » de Remicourt. Il l’assumera jusqu’en 1969.

Le cinéma Lucky change de mains (Remicourt)

En 1963, DELISSE Félix revend le cinéma « Lucky » de Remicourt à CORRIN Lambert, qui transforme l’immeuble en profondeur. Il le loue ensuite aux époux PIROTTE Léon et MIEVIS Louisa. Cette dernière exploitera le cinéma de 1964 à 1967.

Travaux au cinéma Lucky (Remicourt)

En 1955, DELISSE Félix fait entreprendre des travaux importants au cinéma « Lucky » de Remicourt:

  • suppression du balcon
  • création d’une nouvelle cabine avec appareils « cinémascope »
  • aménagement d’un porche
  • entrée pour la vente des billets
  • sièges plus confortables
  • écran plus large et plus lumineux

Les travaux sont réalisés par:

  • PIROTTE Arthur & Fils, pour la menuiserie
  • HORION Urbain, pour la maçonnerie
  • DOCQUIER Hyacinthe, pour l’électricité et la sonorisation
  • LAMBRECHTS Jules, pour le carrelage
  • THIBEAU Julien, pour le plafonnage et le cimentage

La salle rénovée ré-ouvre le 2 juillet.

Le cinéma Lucky (Remicourt)

Vers 1952 (?), DELISSE Félix relance l’activité de cinéma dans sa salle à Remicourt. Il lui donne le nom de « Cinéma Lucky ». Le chauffage de la salle est assuré par un poêle à charbon en fonte. Le premier projectionniste est PIROTTE Joseph. Il sera rapidement rejoint par HAUGEN Florent. Les comptes sont tenus par un jeune voisin, PIROTTE Léon, qui perçoit les entrées

Faillite du cinéma Victory (Remicourt – Liège)

Vers 1951, le cinéma « Victory » de Remicourt fait faillite. Il était exploité par le Liégeois ESSIKOV Raphaël.

Le cinéma Victory (Remicourt)

En 1948, le Liégeois ESSIKOV Raphaël loue la salle DELISSE (ancienne salle MARCHAL-SIOR), à Rermicourt, pour y installer un cinéma qui prendra la nom de « Victory ». Il exploite deux autres établissements du même nom à Corswarem et à Couthuin.