Travaux Avenue Reine Astrid (Waremme)

Le 19 août 2024, l’avenue Reine Astrid, à Waremme, est fermée à la circulation pour 4 jours. Son revêtement sera entièrement refait.

Hiver Rigoureux (Fize-le-Marsal)

En hiver 1564, pendant 14 semaines consécutives, le gel et les neiges abondantes entravent la circulation dans la région de Fize-le-Marsal. La famine menace. Il est interdit de brasser la bière, de nourrir les chiens et autres animaux inutiles !

La monnaie en Belgique

En 1830, lors de l’Indépendance, de nombreuses pièces étrangères circulent en Belgique:

  • florins néerlandais
  • francs français
  • monnaie des Pays-Bas autrichiens
  • monnaie de la Principauté de Liège

L’Opération Gutt (Belgique)

Entre le 9 et le 13 octobre 1944, un mois après la Libération, sur proposition du ministre GUTT, le gouvernement belge fait procéder à un retrait des billets de 100, 500 et 1.000 francs, pour réduire l’inflation. Il y a, en effet, un flot considérable de billets en circulation.

Chaque détenteur de billets ne peut recevoir en échange que 2.000 francs en nouveaux billets de couleur rouge (fabriqués en Angleterre). Le reste est bloqué et ne sera libéré qu’au fur et à mesure de l’amélioration de la situation. Cette opération permet de mettre à jour les bénéfices de guerre, mais fait aussi des victimes parmi les petits épargnants.

Canon belge détruit (Vechmael – Oreye)

Le 11 mai 1940, un char allemand venant de Tongres, qui circule sur la Chaussée Romaine, riposte aux coups d’un canon 4,7 belge, posté dans la campagne de Vechmael près d’Oreye, et en tue les servants.

Un véhicule de l’ALE mitraillé (Jeneffe)

Le 10 août 1944, un chasseur-bombardier anglais Republic P-47-N Thunderbolt attaque un véhicule de l’Association Liégeoise d’Electricité (ALE), qui circule sur la Chaussée Verte, à Jeneffe.

Le « City-Bus » de Waremme

En avril 2016, le « City-Bus » de Waremme, service de transport gratuit pour les « seniors », circule tous les mardis et vendredis, entre:

  • Waremme-Centre (rue Saint-Eloi, place de Gérardmer, Hôtel de Ville, rue du Pont)
  • Bleret (Rue Amédée de Lantremange, rue L. Maréchal, rue H. Docquier)  
  • Bovenistier (rue de Viemme, rue Mignolet, rue Amédée de Lantremange)
  • Clos des Peupliers (rue Buissonvaux)
  • Huit Bonniers
  • Longchamps (rue de Sélys-Longchamps, avenue de la Résistance, rue de Huy)
  • Haute-Wegge (rue Haute Wegge, rue des Alouettes, Al Wilade, rue du Moulin)
  • Bettincourt (rue de Bettincourt, rue Mulhoff, rue des Betto)
  • Champanette (allée des Hortensias)
  • Oleye (rue d’Elbeck, rue de la Paix Dieu, rue d’Elmette, rue de Hartenge) 
  • Lantremange (rue Edmond Leburton, rue Joseph Piette)

Sabotage du chemin de fer (Hodeige)

Le 8 juin 1944, le message « Le Roi Salomon a chaussé ses gros sabots » est diffusé par Radio-Londres. Il est destiné à la Résistance hesbignonne, qui doit mettre à exécution un plan de sabotage préparé à Londres.

Le but des Alliés est de multiplier les sabotages afin de désorganiser l’ennemi et retarder l’acheminement de renforts vers la Normandie.

Au « Bois Lahaut », à Momalle, trois Résistants sabotent la voie de Chemin de Fer et font dérailler un convoi venu d’Allemagne:

  • STASSART Joseph, dit « Arsène »
  • BRANKART Joseph
  • DENGIS Albert

La circulation sera interrompue pendant 48 heures.

Un projet de sabotage avorté (Waremme)

Le 30 août 1944, suite à l’échec du bombardement du 28 août 1944, qui visait à interrompre la circulation des trains entre Bruxelles et Liège, des membres du Font de l’Indépendance (F.I.) décide de couper cette ligne en provoquant le déraillement d’un convoi. Ces Résistants sont DERYDT Alfred et GAUNE François.

Ils portent leur choix sur le « MITROPA » (contraction de « mittel » et de « europa ». C’est un train international qui traverse l’Europe Centrale). Ce convoi transporte presque exclusivement des militaires allemands et des personnes travaillant pour des organisations inféodées à la Wehrmacht.

Ils ont décidés de déboulonner les tire-fonds qui immobilisent les rails, à un endroit situé entre le passage à niveau de la râperie et le petit pont du chemin de fer vicinal qui enjambe la ligne 36. Pour éviter d’être surpris, les deux saboteurs demandent à LOYAERTS Frans de faire le guet. Sa maison est exactement en face de la ligne.

Vers 21h30, après la tombée de la nuit, les deux Résistants passent par la cour de LOYAERTS Frans et s’avancent vers les voies. Ils enlèvent une dizaine de tire-fonds avec une clé à molette, ils démontent des éclisses et essayent de désaligner les rails. Le décalage n’est pas très important, mais ils ne peuvent s’attarder, sous peine de se faire remarquer.

Vers 23h30, le train approche, arrive à l’endroit où les voies ont été sabotées et … passe sans problème.

Les saboteurs ne comprennent pas. Ils doivent maintenant remettre les voies en état, pour ne pas qu’un autre convoi, chargé de civils belges, déraille.

Inondation à Liège

Le 29 janvier 1846, l’inondation est au plus haut à Liège. L’eau arrive rue Vinave d’Île, jusqu’au Passage Lemonnier. On circule en bateau tout autour de Saint-Paul (il y a un pied d’eau dans l’église), du quai jusqu’au Pont d’Avroy et au-delà, chaussée Saint-Gilles, près de la Société d’Emulation, place Saint-Barthélemy. Cette inondation est la plus forte depuis 1748.