En septembre 2024, RENSON Eric annonce qu’il sera le seul candidat sur la liste « Collectif Citoyen » aux prochaines élections communales à Oreye. Il dit avoir manqué de temps pour fédérer d’autres citoyens.
Il habite Oreye depuis une quinzaine d’années. Il a épouse une Orétoise de souche. Il est employé.
Vers Floréal de l’An V (avril 1797), les citoyens GOFFIN, DELTOUR, MENGOYE, DUCHATEAU, BALAINE, JACQUES et le docteur FLEUSSU habitent près de l’ancien Couvent des Récollets de Waremme.
Le 2 décembre 2024, la commune de Crisnée met en ligne la plateforme « ALO » (à livre ouvert), sur laquelle sont consignés les projets et leur réalisation, du bourgmestre, des échevins et du président du CPAS; une sorte de « journal de bord » qui permettra aux citoyens de vérifier l’évolution et l’aboutissement des promesses faites. Ils pourront également joindre les élus sur cette plateforme.
Le 22 janvier 2025, le nouveau collège de Remicourt organise une première « Rencontre Citoyenne » au Centre Culturel du village, installé au n° 25 de la rue Haute. Le bourgmestre de la commune est LHOEST Luc. Celui-ci déclare que des réunions de ce type devraient être organisée au moins une fois par an par village. Mais également des réunions plus globales ou par quartier (à la demande des citoyens).
En décembre (?) 2013, la commune de Crisnée souscrit à la plateforme de collaboration Internet « BetterStreet », pour permettre aux citoyens de signaler des problèmes dans l’espace public de la commune et pour suivre les remèdes qui y sont apportés.
En (?), la morgue de Remicourt est démolie. Les plaques commémoratives, en l’honneur des citoyens du village morts pour la Patrie durant la Première Guerre Mondiale, qui y sont apposées, sont déplacées à l’arrière du Monument aux Morts.
Elles portent les noms de:
Vers 1850 (?), dans l’arrondissement de Waremme, 808 citoyens payent un cens suffisant pour figurer sur la liste des électeurs pour les élections législatives (dont 6 nobles et 21 ministres du culte).
Dès le 1er octobre 1795, les habitants des villages de la région de Waremme deviennent citoyens français, par les lois votées à Paris, qui abolissent l’Ancien Régime.
Le 4 mai 1919, le conseil communal de Remicourt décide de réaliser une plaque commémorative en l’honneur des citoyens du village morts pour la Patrie. Y figurent:
Cette plaque de marbre blanc sera placée sur la façade de la morgue, à droite de la porte d’entrée.
Le 16 novembre 1884, les citoyens convoqués, de Lamine-Remicourt, procèdent à une élection, pour attribuer les grades de la Garde Civique de la commune, devenus vacants.
Sont élus: