Le Peuple clandestin (Belgique)

Le 1er mai 1944, un numéro clandestin du journal « Le Peuple » est publié par le Parti Socialiste Belge. Il est vendu 2 francs.

Le Monde du Travail clandestin (Belgique)

De juin 1940 à la Libération, 88 numéros clandestins du journal « Le Monde du Travail » sont publiés en Belgique.

François Gilon ramené au village (Crisnée)

En 1918, une équipe de Crisnéens, parmi lesquels DENOMERENGE Emile, futur bourgmestre, et LAHAYE Joseph, dit « Djôzef da Nanèsse », exhument clandestinement la dépouille mortelle de GILON François, tué dans la région de l’Yser, et la ramène à Crisnée. Il sera inhumé dans une tombe creusée dans le parvis de l’église du village.

Le curé condamné (Lens-Saint-Servais)

Vers 1793, l’abbé BONDUEL, curé de Lens-Saint-Servais, est condamné à la déportation (mais il continuera à exercer clandestinement).

Joseph Houssa remplace Charles Gérard (Remicourt – Allemagne)

En 1941, le premier échevin de Remicourt, HOUSSA Joseph, est désigné par les Allemands pour remplacer le bourgmestre, GERARD Charles, qui est passé dans la clandestinité.

Désiré Houssa, bourgmestre (Remicourt)

En 1940, le premier échevin de Remicourt, HOUSSA Désiré, élu sur la liste « MELOTTE », est nommé bourgmestre faisant-fonction suite au passage dans la clandestinité du bourgmestre en titre, GERARD Charles. Il exercera cette fonction jusqu’en 1945.

Albert Pauly à Bruxelles (Hesbaye – Belgique)

En avril 1944, le Hesbignon PAULY Albert, membre du « Special Air Service » (SAS), est parachuté près de Bruxelles. Il vivra dans une stricte clandestinité et exercera l’activité de « marconiste » (télégraphiste).

Gaston Nélis vient voir ses enfants (Waremme)

En décembre 1943, NELIS Gaston, dit « Joseph », bijoutier de Waremme passé dans la clandestinité, revient discrètement chez lui pour fêter la Saint-Nicolas avec ses enfants.

Charles Gérard au F.I. (Remicourt)

En 1943, l’ancien bourgmestre de Remicourt, GERARD Charles, qui a démissionné pour ne pas appliquer les directives de l’occupant allemand, passe dans la clandestinité, au Front de l’Indépendance (F.I.).

Laurent Frankinet, Résistant (Momalle – Grandville)

En 1943, FRANKINET Laurent passe dans la clandestinité. Il rejoint le groupe « Zoro ». Il se réfugiera à Momalle, puis à Grandville. Il deviendra le responsable du village et prendra le pseudonyme de « Pierrot ».