Jeneffe en 1801

En 1801, la superficie de Jeneffe est de 53.000 ares et 13 milliares (?). La position est plate et unie. Son sol est assez bon et son climat des plus sain. Aucune rivière, aucun ruisseau ne passe dans la commune. Il n’existe aucun bois dans son étendue et le plus à proximité est éloigné de 2 myriamètres (?). Il y a un endroit appelé « A la Chaussée ». Cet endroit est ainsi appelé parce qu’en son milieu traverse la Chaussée Verte, c’est-à-dire un grand chemin élevé et assez fréquenté par les voyageurs du côté de Namur à Tongres (il s’agit d’une ancienne chaussée romaine). Cet endroit est composé de 2 fermes et 4 autres maisons situées au levant.

Auguste Mercier au Congo (Oreye)

De 1923 à 1926, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore part pour le Congo où il travaillera comme directeur de la « Société des Produits du Congo », installée sur l’île de Mateba, à l’embouchure du fleuve Congo.

Son épouse, PAQUES Bertha, ne l’accompagne pas parce qu’elle attend un enfant et que le climat insalubre de cette région ne lui convient pas.