En 1951, l’Unité Scoute Saint-Michel est constituée à Waremme. Elle s’installe dans un bâtiment à proximité de la Clinique Notre-Dame de Waremme.
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Construction de la nouvelle clinique Notre-Dame (Waremme)
En 1949, les travaux de construction de la nouvelle Clinique Notre-Dame de Waremme débutent sur un terrain situé rue Edmond de Sélys-Longchamps.
Mort de Joseph Martinaux (Waremme)
Le 26 novembre 1941, à 21 heures, MARTINAUX Joseph-Louis, âgé de 21 ans, victime d’un accident de chemin de fer, alors qu’il montait la garde à la voie ferrée, deux jours plus tôt, décède à la Clinique Notre-Dame de Waremme. Lors de l’accident, il a eu la colonne vertébrale fracturée et des contusions multiples.
Accident près de la gare de Waremme
Le 24 novembre 1941, le jeune MARTINAUX Joseph-Louis est happé par un train près de la gare de Waremme. Gravement blessé, il est emmené à la Clinique Notre-Dame de Waremme.
La Clinique Notre-Dame (Waremme)
En 1940, le docteur BOURMANNE Louis est le directeur médical de la clinique Notre-Dame. Toutefois, se sont les Sœurs Dominicaines qui s’occupent des soins habituels et de la partie administrative. Les chirurgiens attritrés de la clinique sont les docteurs BLAVIER et COHEUR.
De nombreux blessés à Waremme
Le 12 mai 1940, les deux cliniques de Waremme, ainsi que l’antenne médicale, sont submergées de blessés civils et militaires. Les soldats français, belges et allemands sont alors unis dans la même souffrance. Les Français et les Belges sont installés dans les locaux du Collège Saint-Louis, sous la surveillance de sentinelles allemandes. Les victimes allemandes sont emmenées dans les locaux de l’Ecole Moyenne de Waremme.
Création de la Clinique Notre-Dame (Waremme)
En juillet 1935, la Clinique Notre-Dame voit le jour à Waremme.
Elle est fondée par le Doyenné de Waremme et la Congrégation des Filles de la Croix. Elle s’installe dans deux maisons bourgeoises du coin de la rue du Baloir et de la rue Joseph Wauters, sommairement aménagées pour accueillir l’institution. Elle est contiguë au couvent des Filles de la Croix. Des soeurs sont désignées pour y administrer les soins.
Dès l’origine, elle reçoit le soutien moral et financier des Mutualités Chrétiennes.