L’Offertoire des Malades (Waremme)

Le dimanche 15 juin 1952, un jeu scénique intitulé « L’Offertoire des Malades » est organisé à Waremme, par les Doyennés de Braives, Couthuin, Hannut, Horion-Hozémont, Saint-Georges, Villers-L’Evêque et de Waremme, dans le cadre du Congrès Eucharistique des malades de Hesbaye.

Le rassemblement se fait sur la place de l’église Saint-Pierre et le cortège se rend ensuite à la clinique Notre-Dame.

Le manifestation est présidée par Monseigneur KERKHOFS, évêque de Liège.

Les cliniques de Waremme en 1977

En 1977, il y a près de 150 personnes employées dans les deux établissements de soins de Waremme, la clinique Joseph Wauters et la clinique Notre-Dame.

Chantal de Maere, visiteuse d’hôpital (Waremme)

En 2017, DE MAERE Chantal fait partie de l’équipe d’aumônerie hospitalière, à la Clinique Notre-Dame de Waremme. Elle habite à Waremme.

Le Centre Médical militaire quitte Waremme

Le 11 mai 1940, le Centre Médico-Chirurgical Militaire, qui s’est installé la veille à l’Ecole Moyenne de Waremme, rue Charles Lejeune, se replie sur Hannut. Les blessés sont transportés à la Clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters.

Jeanne Lesire, directrice (Waremme)

En janvier 1940, la Religieuse LESIRE Jeanne, dite « Soeur Jeanne », est directrice de la Clinique Notre-Dame, située rue Joseph Wauters à Waremme.

Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)

Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.

Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.

Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.

Charles Vanhoren, machiniste (Waremme)

Le 1er septembre 1944, le machiniste VANHOREN Charles, blessé lors du déraillement du train « MITROPA », en gare de Waremme, est emmené à la Clinique Notre-Dame. Il devra subir une opération chirurgicale. Il restera hospitalisé jusqu’au 9 septembre 1944.

Le corps de Léon Berger chez sa maman (Waremme)

Le 29 août 1944, vers 20 heures, la dépouille de BERGER Léon est transportée de la clinique Notre-Dame, située rue Joseph Wauters à Waremme, au domicile de sa mère, GIHOUSSE Marie, au n° 45 de la rue Hubert Stiernet.

Mort de Léon Berger (Waremme)

Le 29 août 1944, BERGER Léon décède à 19h. Il est la douzième victime du bombardement. Hospitalisé à la clinique Notre-Dame, il a été blessé durant le bombardement, de la veille, du centre de Waremme.

Gaston Nélis au chevet de Léon Berger (Waremme)

Le 29 août 1944, bien qu’il se sait recherché par les Allemands, le bijoutier NELIS Gaston, membre de l’Armée Secrète (A.S.), se rend au chevet de BERGER Léon, blessé lors du bombardement du centre de Waremme de la veille, hospitalisé à la clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters à Waremme.

BERGER Léon décède à 19h. Il est la douzième victime du bombardement.