En 1905, la rue du Pont débute au coin de l’Hôtel de Ville de Waremme (le premier tronçon s’appellera plus tard rue Hubert Stiernet).
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Théo Renier, cafetier (Waremme)
En (?), RENIER Théo exploite un café au coin de la rue de la Station (qui deviendra l’Avenue Reine Astrid) et de la Place de la Station (qui deviendra Place Ernest Rongvaux) à Waremme.
Le cafetier Aerts (Waremme)
En (?), Monsieur AERTS exploite un café au coin de la rue de la Station (qui deviendra l’Avenue Reine Astrid) et de la Place de la Station (qui deviendra Place Ernest Rongvaux) à Waremme.
Le Résistants occupent les points stratégiques (Waremme)
Le 7 septembre 1944, vers 14 heures, une petite troupe de Résistants du Groupe « Otarie », commandée par NELIS Gaston, investit Waremme et occupe des points stratégiques:
- LEJEUNE René et SAUWENS André s’installent dans les ruines du coin de la rue Gustave Renier, pour surveiller le carrefour du Centre.
- THOMAS Jean-Baptiste, BOURS Jean, HERCKENS Jules et MISSOTTEN Hubert prennent position dans la pharmacie « GIELEN », de l’autre côté de ce carrefour.
- MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice pénètrent dans l’Hôtel de Ville.
- NELIS Gaston, dit « Joseph », et PAPY Justin s’introduisent dans la gare.
Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.
- La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
- Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
- La maison « RENIER » est détruite.
- La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
- Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
- La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.
Une quatrième explosion. Le centre est dévasté (Waremme)
Le 28 août 1944, à 18h16, une dizaine de secondes après l’explosion de la rue Joseph Wauters, une autre bombe touche le sol, entre la façade arrière de la maison « PUTZEYS » rue Gustave Renier et l’atelier de « Djed Libon », qui est situé à une dizaine de mètres de l’ancienne cour à charbon. Le sol étant particulièrement humide à cet endroit, la bombe s’enfonce à cinq mètres de profondeur. Après quelques secondes, elle explose.
Tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé. Les maisons « MATHOT », « RENIER », « WUIPIEDS », « PUTZEYS » et « GONTHIER » sont détruites.