Le 22 mai 2017, le notaire JADIN Catherine cesse sa collaboration avec le notaire DE LAMINNE DE BEX Olivier, de Waremme, et installe son étude au n° 29A de la rue Ernest Solvay, à Liège. Elle a constitué une nouvelle société notariale, il y a quelques jours.
Archives par mot-clé : collaboration
L’Union Romande d’Hubert Krains
A partir de 1903, KRAINS Hubert collabore avec le journal « L’Union Romande », de Berne.
La Semaine Littéraire d’Hubert Krains
A partir de 1902, KRAINS Hubert collabore avec le journal « La Semaine Littéraire », de Genève.
La Tribune Libre d’Hubert Krains
Dès 1901, KRAINS Hubert collabore avec le journal « La Tribune Libre », de La-Chaux-de-Fonds.
Mort de Monsieur Lemonnier (Pousset)
Le 17 mars 1944, le corps sans vie de Monsieur LEMONNIER, qui exploitait un petit magasin à Pousset, est retrouvé dans la campagne. Il a été abattu de plusieurs balles de revolver, par les exécuteurs du Groupe « Zoro ». Il était accusé de collaboration avec l’ennemi et de dénonciation.
Louise Morhaye, soeur résistante (Liège – Hesbaye)
En 1943, MORHAYE Louise est Soeur Xavière de l’Ordre de Saint-Augustin. Elle est infirmière en chef au service des infectieux de l’hôpital de Bavière.
Elle collabore aux actions clandestines du docteur HEINTZ Albert, médecin du groupe de Résistants hesbignons « Zoro ».
Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)
Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:
- GAUNE François
- DERYDT Alfred
- RENKIN André
Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.
Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.
Des instructions pour la reprise de Waremme
Le 6 septembre 1944, REYNTENS Louis ordonne à NELIS Gaston, dit « Joseph », de prendre le contrôle de Waremme, avec un groupe de dix hommes et quatre gendarmes.
- Il devra contrôler les points stratégiques: le carrefour du Centre, la centrale téléphonique, la gare, l’Hôtel de Ville, la gendarmerie.
- Il devra veiller à rétablir les administrations telles qu’elles fonctionnaient le 10 mai 1940.
- Il devra contenir tout désordre, spécialement les violences envers les collaborateurs (pour éviter le renouvellement de « l’Affaire Doyen »). Dans la mesure du possible, ceux-ci seront incarcérés à l’Hôtel de Ville, pour les mettre à l’abri des exactions.
- Il devra prendre les dispositions nécessaires pour éviter le pillage des magasins et des habitations appartenant à ces collaborateurs.
LEBURTON Edmond désigne les hommes mis à la disposition de NELIS Gaston:
- BOURS Jean
- GODBILLE Maurice
- HERCKENS Jules
- LEJEUNE René
- MISSOTTEN Hubert
- MOUREAU Edmond
- PAPY Justin
- SAUWENS André
- THOMAS Jean-Baptiste
Avant l’opération, le groupe va se cacher dans la ferme de DOUCET Jules.
Lucien Peters, commissaire (Waremme)
Après le 10 mai 1940, PETERS Lucien est nommé commissaire de police de Waremme. Il remplace HARDY Camille, qui refuse de collaborer avec l’occupant allemands.
René Craninx, garde rural (Waremme – Bettincourt)
En 1943, CRANINX René de Bettincourt est garde rural à Waremme. Il s’assure que les habitants, qui ont été réquisitionnés pour effectuer des patrouilles nocturnes dans les cultures pour décourager les glaneurs clandestins, remplissent bien leur tâche.
Cette activité déplait fortement à la population. A la Libération, il sera poursuivi pour collaboration avec l’ennemi.