En 1783, DE LAPLACE Pierre-Simon présente devant l’Académie des sciences ses « Mémoires sur la chaleur », fruits de sa collaboration avec LAVOISIER Antoine-Laurent.
En novembre 1942, DARGENT Albert est nommé bourgmestre de Liège. Il est membre du parti rexiste.
Prévenu de dénonciations et de collaboration, il sera condamné à mort et exécuté à la fin de la guerre.
En mars 2000, les tensions entre la Bibliothèque Communale de Waremme et la Bibliothèque Libre sont apaisées. Une collaboration entre les deux institutions se met même en place.
En 1951, le sculpteur DUPONT Louis, natif de Waremme, réalise les reliefs pour l’hôtel des Télégraphes et des Téléphones, rue de l’Université à Liège, en collaborration avec MASSART Robert.
Au printemps 1945, le Haute Cour de Justice française condamne PETAIN Philippe à la peine de mort, pour collaboration avec l’Allemagne nazie. Il est grâcié par le général DE GAULLE Charles, en raison de son grand âge; la peine étant commuée en détention à vie.
Le 14 ou le 15 juillet 1944, deux Résistants armés du Groupe « Zoro » frappent à la porte d’une petite maison située aux pieds des escaliers de l’Eglise Saint-Pierre de Waremme, dans une impasse donnant sur la rue Sous-le-Château. Ils demandent la carte d’identité de BARTHOLOME Marie-Odile, l’épouse de DELMOTTE François. Il l’emmène de force avec eux. Son corps ne sera retrouvé que six mois plus tard, à Momalle.
Le bruit courait qu’elle avait tendance à rapporter certains faits ou à mentionner certains noms, quand elle rapportait, aux Allemands, leur linge qu’elle avait lavé.
Le 15 juin 1944, une collaboratrice, qui lessivait habituellement le linge de soldats allemands, est enlevée à Waremme.
En 1937, le sculpteur DUPONT Louis, natif de Waremme, réalise le bas-relief du lycée Léonie de Waha, sur le boulevard d’Avroy à Liège, en collaboration avec SALLE Adelin et MASSART Robert.
Après la libération de la ville, une partie de la population waremmienne s’acharne sur l’entreprise de machines agricoles « Les Etablissements DOYEN », situés près de la gare. Ces habitants veulent s’en prendre à ceux qui ont collaboré économiquement avec l’occupant. Les dégats sont considérables.