Le 22 juillet 1941, pour avoir des légumes, le collège Saint-Louis de Waremme est autorisé par la commune à cultiver les surfaces, réservées aux futures routes, qui ont été délimitées dans les champs.
En 1940, il y a 413 élèves au Collège Saint-Louis de Waremme, 72 internes et 341 externes.
Durant la guerre, le Collège Saint-Louis sera le siège de la Croix-Rouge à Waremme, qui y installe une antenne médicale. De nombreuses Waremmiennes se mettent à son service.
Le 18 août 1940, HOGGE Albert-Jacques-Joseph, prêtre et professeur au Collège Saint-Louis de Waremme, meurt au camp de prisonnier de Greifswald, en Allemagne.
De nombreux blessés français des sanglants combats de Hannut et de Jodoigne, sont amenés au Collège Saint-Louis de Waremme, transformé pour la circonstance en hôpital de campagne.
Le 12 mai 1940, les deux cliniques de Waremme, ainsi que l’antenne médicale, sont submergées de blessés civils et militaires. Les soldats français, belges et allemands sont alors unis dans la même souffrance. Les Français et les Belges sont installés dans les locaux du Collège Saint-Louis, sous la surveillance de sentinelles allemandes. Les victimes allemandes sont emmenées dans les locaux de l’Ecole Moyenne de Waremme.
En 1937, l’abbé MONARD est nommé directeur du Collège Saint-Louis de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1941.
En 1936, l’abbé MONARD Georges est nommé directeur au Collège Saint-Louis de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1941.
En 1934, l’abbé RENARD Louis est nommé préfet au Collège Sainst-Louis de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1948.
En 1932, l’abbé CLYSTERS est nommé préfet au Collège Saint-Louis de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1958.