La mare du village devrait être comblée (Fize-le-Marsal)

En avril 1915, le conseil communal de Fize-le-Marsal décide de combler la mare qui se trouve au centre du village, foyer malsain d’eau stagnante. Les travaux devraient être effectués par les chômeurs involontaires, du fait de la guerre. (Mais le sera-t-elle ?)

Fouille de la fosse n° 2 à Momalle

En mars 1981, une prospection est effectuée sur le champ voisin de la fosse, découverte sur le « site de la Tène » à Momalle en 1975 et dite « fosse n°1 ».

Ces nouvelles recherches révèlent deux autres fosses, profondément saccagées par le labour. La fosse, dite « fosse n° 2 », située à 35 mètres du bord du champ, est fouillée par DESTEXHE Guy, avec l’aide de DESTEXHE-JAMOTTE J.

Cette fosse a une ouverture circulaire de 1 mètre 60 de diamètre et une profondeur de 1 mètre 40. Son profil est très nettement incurvé. Dans le fond, le plan est elliptique, avec des dimensions de 3 mètres sur 2 mètres 50. Sous la couche arable, la fosse est comblée par une masse assez homogène de terre noire contenant de nombreux charbons de bois. Cette masse, interrompue par une fine couche compacte de foyer surmonte une couche de terre grise. Du matériel est découvert dans la couche de terre noire.

Fouille de la fosse n° 1 à Momalle

En octobre 1975, DESTEXHE Guy découvre le « site de la Tene » à Momalle.

Lors du tracé d’une route de remembrement, le versant exposé à l’Est de la dépression, parallèle à la chaussée, a été entamé pour adoucir la pente. Une fosse a été effleurée par les engins et son profil est apparu dans le talus de gauche en se dirigeant vers Momalle.

Cette fosse, dite « fosse n° 1 », est plus ou moins circulaire. Elle a un diamètre de 2 mètres et un profondeur de 1 mètre. Les parois sont presque verticales et légèrement incurvées dans la partie inférieure du pourtour Est. Le fond est plat. Sous la couche arable de 25 à 30 centimètres, la fosse est comblée avec du limon gris contenant des charbons de bois. Le fond est tapissé d’une couche compacte de charbon de bois. Dix centimètres au-dessus, les 3/4 de la surface de la fosse sont scellés par une épaisse couche de terre cuite rouge. L’autre partie est fermée par un amas de nodules de terre cuite noire, renfermant 2 mâchoires de cheval. De la poterie est disséminée dans tout le remplissage.

Importants travaux au château (Otrange)

En 1962, le propriétaire du château d’Otrange, le Chevalier DE SCHAETZEN Jean, entreprend d’importants travaux de sauvegarde et d’aménagement. Un aile du 18ème siècle, en mauvais état, est supprimée. Le côté Sud est remanié, notamment par le percement de nouvelles fenêtres. Un soin tout particulier est donné à l’équilibre esthétique. Une partie des douves est comblée.

Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer

Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.

Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.

Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.

En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,

La mare de Momalle comblée

En 1906, la dernière mare de Momalle, se trouvant sur le domaine public, à l’intersection de la rue Michel Heyne, dite « El’Vau », et de la rue de l’Eglise (Chemin du Mont), est comblée pour des raisons d’hygiène.

Déblaiement des ruines d’Hesbaco (Waremme)

Le 2 septembre 1944, les débris du bâtiment « Hesbaco », détruit lors du bombardement du centre de Waremme du 28 août dernier, sont transportés sur le tronçon de la Chaussée Romaine, compris entre la chapelle Saint-Eloi et le carrefour des Quatre-Bras, pour combler les profondes ornières laissées depuis des décennies par les véhicules agricoles.

Travaux décidés par le Conseil Communal (Waremme)

Le 9 juin 1864, le conseil communal de Waremme décide de reconstruire le Pont du Geer, situé près de bâtiment du corps de garde, au bas de la rue du Pont. L’ouvrage est, en effet, très malade. Le conseil décide également le comblement de l’abreuvoir contigu, qui sera transféré au lieu-dit « Brouck ». Ces travaux sont estimés à 10.000 francs.