Réné Evrard et Jules Maréchal, amis (Waremme)

Durant la Seconde Guerre Mondiale, le docteur EVRARD René, directeur médical à la clinique Joseph Wauters, et l’adjudant MARECHAL Jules, commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, sont des amis proches.

Des abris pour la population (Waremme)

En 1944, sous la direction de l’architecte GERBEHAYE, la brigade des pompiers de Waremme, sous la direction de WEBER Jean-Baptiste, montre aux habitants comment renforcer leur cave en l’étançonnant et comment construire des abris.

Léon Berger, Résistant (Waremme)

En 1942, l’instituteur de Waremme, BERGER Léon, dit « Célestin, est chef de peloton de la Compagnie 419 du Groupe « Otarie », commandée par LEBURTON Edmond.

Louis Reyntens, chef des maquisards waremmiens

En juin 1942, l’état-major national de l’Armée Secrète (AS) désigne REYNTENS Louis comme chef des maquisards de la région Waremme – Heers – Hannut.

Il a été commandant de la 9ème Compagnie des Chasseurs Ardennais à Vielsalm.

Le gendarme Ambroise Jamar (Waremme – Grand-Axhe)

En novembre 1943, le lieutenant JAMAR Ambroise, commandant de gendarmerie du district de Waremme, réside avec sa famille, dans la maison des époux JOASSIN, à côté de l’église de Grand-Axhe.

Il dispose d’une voiture « Renault », qui a appartenu à NAVEAU Lucie. Il l’utilise pour les besoins du service et pour les déplacements de son domicile à Grand-Axhe, jusqu’à son bureau à Waremme.

Le lieutenant Cocquyt, chef de district (Waremme)

En juillet 1940, le lieutenant COCQUYT Charles occupe un bureau à la gendarmerie de Waremme, située au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. Il est le commandant du district de Waremme, qui regroupe les brigades de:

  • Waremme
  • Hannut
  • Ligney
  • Oreye
  • Othée
  • Verlaine

Le retour des gendarmes (Waremme)

En juin ou juillet (?) 1940, lorsque le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, l’adjudant MARECHAL, revient dans la ville, au terme de la « Campagne des dix-huit jours », il installe le bureau de la brigade au rez-de-chaussée de l’immeuble situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. En effet, les locaux de la gendarmerie ont été réquisitionnés par la Kommandantur.

Madame Maréchal trouve refuge avenue Reine Astrid (Waremme)

Le 13 mai 1940, Madame MARECHAL Lucie, l’épouse du commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, expulsée de la caserne par les Allemands, s’installe avec sa fille Arlette, dans un des immeubles de la pâtissière DELVAUX Renée. Cet immeuble, situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid, est momentanément inoccupé.

Pour le déménagement, Madame MARECHAL est aidée par « VANAKE Djan » et sa charrette à bras.

Le fort de Boncelles bombardé

Le 16 mai 1940, l’infanterie du Fort de Boncelles s’est retirée depuis quelques jours. En l’absence de DCA, l’aviation allemande bombarde le Fort. Les trois coupoles sont mises hors d’état. On dénombre les premières victimes parmi la garnison du Fort.

Le commandant de la place rassemble ses soldats et les exhorte par ces mots: « Me rendre, jamais ! ». Il demande 25 volontaires pour poursuivre le combat. Tout le  monde se propose. Il désigne les officiers et les sous-officiers, auxquels il adjoint quelques spécialistes. Il ordonne aux autres de s’échapper par la tour d’air, pour rejoindre l’armée.

Mariage de Michel Villée et de Christiane Landrain (Waremme – Hannut)

Le 17 août 1988, le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, VILLEE Michel, épouse LANDRAIN Christiane, native de Hannut.