Le 28 septembre 1944, RENSON René écrit au bourgmestre de Waremme, au nom du commandant de l’Armée Secrète, REYTENS. Il lui signale que l’Armée Secrète a prévu d’occuper des locaux de l’Ecole Moyenne de Waremme, mais « de manière restreinte », pour gêner le moins possible la reprise des cours.
Il demande au bourgmestre de faire remplacer les vitres brisées. Les cartons laissent trop passer le froid.
Le 7 septembre 1944, l’Armée Secrère défile à Waremme.
Le commandant du « Groupe Otarie », REYNTENS, debout dans une voiture décapotable, grand, mince et droit, sanglé dans son uniforme d’officier, le bérèt sur l’oreille et le révolver à la ceinture.
Le 15 mars 1941, un Front de l’Indépendance est clandestinement créé en Belgique. Son objectif est de coordonner l’activité des groupes de résistance déjà existants. Il regroupe la plupart des Résistants de tendance communiste.
Le commandant du Régiment Nord de la Région Huy – Waremme, orienté principalement vers la lutte armée, est le Waremmien GAUNE François.
En janvier 1941, le commandant de l’arrondissement de Waremme est TREMEL.
Début 1941, en raison de l’exiguïté de l’immeubles qu’ils occupent au n° 10 de l’avenue Reine Astrid, les gendarmes la brigade de Waremme déménagent au numéro 17 de la rue Porte de Liège, à côté des « Etablissements Peetermans ». L’étage de cette maison bourgeoise est occupé par le maréchal des logis DE BARQUIN Marcel et sa famille.
L’adjudant MARECHAL, commandant de la brigade, quant à lui, continue à résider avec sa famille à l’avenue Reine Astrid.
Le 3 août 1940, le commandant allemand de la place de Waremme informe les habitants que la sonnerie des cloches d’église est interdite avant 6 heures et après 21 heures.
Il exige également que les militaires belges libérés se présentent à la Kommandantur de la ville, dès leur rentrée au foyer.
hermann goering
En 1935, GOERING Hermann est nommé commandant de l’armée de l’air allemande, la « Luftwaffe ».
Le 18 mai 1915, le commandant de l’Ortskommandantur de Waremme, BERG, décide qu’à partir de ce jour la circulation dans les rues ne sera permise qu’entre cinq heures du matin et onze heures du soir, mais les cafés seront fermés à dix heure du soir.
gustave renier
Le 12 septembre 1914, à la tête de son régiment du 1er de Ligne, le commandant RENIER Gustave de Waremme est tué par un éclat d’obus allemand, à Beyghem, lors d’une tentative de sortie de l’Armée belge, encerclée dans la ville d’Anvers.
Le 27 août 1914, les Allemands imposent un couvre-feu à Waremme. Les occupants interdisent aux habitants de se trouver sur la rue après 8 heures du soir. Exception est faite pour les prêtres, les médecins, les sages-femmes, les membres de la Croix-Rouge, pour autant qu’ils se trouvent dans l’exercice de leurs fonctions. Ils doivent également se procurer un laisser-passer chez le commandant de la place. Toute infraction à cet ordre est punie par une arrestation immédiate.