En novembre 1942, le Résistant DERWA Arthur, dit « Arthur », recrute des volontaires parmi les nombreux réfractaires au travail forcé imposé par les Allemands. Il les trie sur le volet et ne choisit que de « vrais durs », pour constituer une sorte de commando, qu’il appelle au début « 6 T C 3 » (6ème Troupe de Choc, 3ème Compagnie). Ils seront payés 800 francs par mois.
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Des armes pour le commando d’Arthur Derwa
Le (?) 1942, avec l’aide de GATHY Armand, dit « Aramis », qui dirige le secteur de Huy des Résistants, le nouveau commando de DERWA Arthur, dit « Arthur », se procure un lot de 22 pistolets, entreposés dans une Maison Communale des environs de Tongres; des armes assez hétéroclites (révolvers à barillet, Brownings, quelques GP en bon état, …).
Commando de parachutistes belges (Belgique – Allemagne)
Le nuit du 15 au 16 août 1944, un peloton composé de 11 parachutistes belges (9 soldats et 2 officiers) est largué derrière les lignes ennemies. Ce commando belge est la première unité Alliée qui foule le sol national.
Il fera plus de 300 victimes allemandes (dont un général) et détruira plus de 100 véhicules, ainsi qu’un important stock de munitions.
Dedor, Résistant (Hesbaye – Mongolie)
En 1943 (?), DEDOR fait partie du commando de Résistants de DERWA Arthur. C’est un Mongol d’Alma Ata. Il a les yeux bridés et parle peu.
L’entraînement des Résistants (Crisnée)
En 1943, dans une prairie située dans les terres de la ferme HAPPART, à Crisnée, bien abritée par des haies et un épais rideau d’arbres, LEONARD Georges, dit « Le Vieux Georges », explique le maniement des armes automatiques, aux recrues du commando de Résistants de DERWA Arthur.
Paul Lismonde, Résistant (Hesbaye)
En 1943, LISMONDE Paul, dit « Pol », fait partie du commando de Résistants commandé par DERWA Arthur.
Le Groupe Zoro tente de délivrer Paul Fremder (Waremme – Allemagne)
Le 9 (10?) décembre 1943 1942 ?), les Résistants du « groupe Zoro » de DERWA Arthur, sous la direction de GATHY Armand (alias Aramis), décident de s’introduire dans la Clinique Joseph Wauters pour libérer un des leurs, FREMDER Pol (alias Pol Thonon), où il est soigné, de la blessure reçue lors de son arrestation.
Le docteur EVRARD, directeur de la clinique, fournit les renseignements utiles et les tabliers blancs que revêtiront les Résistants qui participe à l’opération.
Une fusillade éclate entre le commando et les gardiens du prisonnier. FREMDER Paul sort du lit pour rejoindre ses compagnons, mais il est abattu par un de ses gardiens allemands d’une rafale de mitraillette. Les Résistants battent en retraite.