En 1896, JAVAUX J.J. est commissaire de police, à Waremme.
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Mademoiselle Namur, garde-malade (Longchamps – Liège)
Le 9 septembre 1857, Mademoiselle NAMUR arrive au château de Longchamps comme garde-malade de GANDOLPHE Marie-Denise, dite « Julie », baronne douairière de Selys-Longchamps. Elle a été recommandée par le commissaire de police (de Liège ?) SCHINDELER.
Choix d’un commissaire (Waremme)
Le 27 août 1888, le Conseil Communal de Waremme débat sur le choix du prochain commissaire de police.
Mort d’Alexis Bertrand (Waremme)
Le 2 décembre 2020, BERTRAND Alexis décède à Waremme, à l’âge de 85 ans. Sa veuve est MBAHI Marie-Gisèle. Il était veuf en 1ères noces de DEBECKER Janine. Il était commissaire de police honoraire.
Guillaume Renier, verbalisé (Waremme)
En février (?) 1895, RENIER Guillaume est verbalisé par le commissaire de police de Waremme, pour être resté trop tard au café !
Yvan Paquay, commissaire (Geer)
En 2015, PAQUAY Yvan est commissaire de police à Geer.
Le commissaire Javaux (Waremme)
En 1906, JAVAUX J. est commissaire de police, à Waremme.
La police de Waremme
En 1954, la police de Waremme est composée de:
- VANELDEREN Fernand, commissaire de police. Il habite au n° 70 de la rue de Sélys.
- BAUS Guillaume, agent de police. Il habite au n° 28 de la rue de Petit-Axhe.
- VERHAEGEN Jean, agent de police. Il habite au n° 32 de la rue Saint-Eloi.
- VANDEVELDE Charles, garde-champêtre. Il habite au n° 20 de la rue des Remparts.
Camille Vanelderen (Waremme)
En janvier 1940, VANELDEREN Camille habite la rue de Sélys-Longchamps à Waremme. Il y sera commissaire de police.
Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)
Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:
- GAUNE François
- DERYDT Alfred
- RENKIN André
Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.
Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.