Le 4 avril 1914, le conseil communal de Crisnée souscrit un abonnement téléphonique annuel de 1200 communications.
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Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)
Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:
» … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.
A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.
Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.
Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.
Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.
Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »
Le téléphone à Pousset
Le 8 février 1921, le conseil communal de Pousset décide de faire installer le téléphone dans la commune. Le premier poste sera placé au domicile du maçon, KINET Joseph.
Au cours de la première année, 1.200 communications y sont recensées. Une communication coûte 10 centimes.
Sabotage des Télécommunications (Hesbaye)
Dans la nuit du 8 au 9 juin 1944, LEBURTON Edmond, dit « Jean-Pierre », qui s’est procuré le plan des connexions téléphoniques de la région de « Liège – Waremme », coupe avec sa section, les câbles qui relient le central de Fexhe-le-Haut-Clocher à 6 autres villes et communes, le câble international qui relie Ostende à Berlin, ainsi que toutes les lignes des centraux téléphoniques civils et militaires.
Toutes les communications seront coupées pendant 10 jours.
Les Résistants s’en prennent à nouveau au Téléphone (Waremme – Huy – Tongres)
Le 13 août 1944, les membres waremmiens du Front de l’Indépendance sectionnent à nouveau les cables téléphoniques qui avaient déjà été sabotés queqlques jours plus tôt, mettant à mal les communications sur les lignes entre Waremme, Huy et Tongres.