En 1935, le Comte VAN DEN STEEN Jehan, de Jehay, cède le château de Saives avec ses terres (sauf la chapelle) à LAMBRECHTS Paul. C’est la fille de celui-ci, LAMBRECHTS Georgette, qui occupera les lieux.
En octobre 1948, DE THIER Jean abandonne son mandat d’administrateur-directeur du journal liégeois « La Meuse ». Il est remplacé par le Comte DE LAUNOY, dirigeant de « Cofinindus », de la « Brufina » et de la « Banque de Bruxelles ».
En 1943, le Comte DE LIEDEKERKE Edouard est le premier président du club de football du « CS Verlaine ».
Le 31 décembre 1936, le château et le domaine d’Oudoumont, à Verlaine, est acquis par le Comte DE LIEDEKERKE Pierre et son épouse.
En février 1956, le Comte DE LIEDEKERKE Gérard est membre (président ?) du Conseil de Fabrique de l’église de Verlaine.
En 1120, DE LOOZ Arnoul, Comte de Looz-Hesbaye, décède à (?). Il a épousé DE DIEST Adélaïde. Il a fondé le Bénéfice de la Bienheureuse Vierge-Marie et de Saint-Jean-l’Evangéliste dans l’église paroissiale de Corswarem.
En août (?) 1965, le Comte DE LIEDEKERKE Edouard, de Verlaine, est nommé président du Conseil Provincial de Liège.
Le 31 août 1327, le chevalier DE HANEFFE Jean, agissant au nom du Comte Guillaulme, transporte à DE TOURNAI Jean, receveur des mortes-mains du Hainaut, son château de Haneffe, avec les villages de Donceel, de Haneffe et de Stier qu’il possédait en alleu.
Le (?) 1799, le Comte DE BERLOZ – SUYS Marie-Léopold-Joseph décède à (?). Il est le dernier à porter le titre de Comte DE BERLOZ. Il sera inhumé dans l’église du village.
En 1203, une dissension violente éclate entre de Duc DE LOUVAIN Henri, dit « Le Guerroyeur », et le Comte DE LOOZ Louis, au sujet de l’avouerie de Saint-Trond.
Le Duc commence à ravager les moissons. Le Comte fait appel à l’assistance du Prince-Evêque de Liège, son suzerain. Ce dernier lève des milices et constitue une grande armée commandée par DE SAINT-JACQUES Renier. Il mande au Comte de venir le rejoindre à Waremme avec ses troupes. Les 2 armées se rencontrent au jour fixé et campent à Waremme 8 jours entiers.
L’intervention du Comte de Namur parviendra à réconcilier les belligérants.