Le drapeau wallon

Le 23 juillet 1998, par décret, le Parlement wallon confirme officiellement le choix du drapeau wallon: un coq hardi rouge sur fond jaune.

Donation confirmée (Aineffe – Liège)

En 1044, l’Empereur HENRI III confirme la donation de 10 manses de terres (120 bonniers), situées à Aineffe, est effectuée par le Prince-Evêque de Liège REGINARD, au profit de l’abbaye Saint-Laurent de Liège, une dizaine d’années plus tôt.

Louis Jaco, bourgmestre (Momalle)

En 1921, le Libéral JACO Louis est confirmé bourgmestre de Momalle.

Victoire catholique à Momalle

Suite aux élections communales du 16 octobre 1938, le Parti Catholique remporte la majorité absolue à Momalle.WARNANT Edgar est confirmé bourgmestre. (Il était bourgmestre minoritaire lors de la législature précédente).

Donation confirmée (Waremme – Liège)

En 1155 l’Empereur BARBEROUSSE Frédéric confirme la donation de Waremme au Prince-Evêque de Liège DE VERDUN Henri, par la Comtesse ERMENGARDE en 1078.

Confirmation de l’attribution de Momalle à l’Abbaye Saint-Laurent

Le 28 avril 1044, l’Empereur HENRI II (III ?) confirme la charte du Prince-Evêque REGINARD, qui attribue le domaine de Momalle à l’Abbaye Saint-Laurent de Liège.

Confirmation au bowling (Waremme)

Le 17 août 2016, l’Assemblée Générale de la S.A. « Route Nationale 69 », qui exploite le bowling situé Chaussée Romaine à Waremme, renouvelle le mandat d’administrateur de PIERRE Jacques.

L’administrateur-délégué de la société est la S.A. « GESOFA », représentée par BOSQUIN Victor.

« Les Sanglots Longs des Violons de l’Automne » (Angleterre – Belgique)

Les 1er, 2 et 3 juin 1944, le message codé « Les sanglots longs des violons de l’automne » est diffusé sur la BBC. Il confirme les messages précédents et annonce à la Résistance que l’heure du débarquement est proche. Il ordonne aux responsables locaux de préparer l’exécution du plan de sabotage (élaboré en concertation avec Londres) destiné à désorganiser l’acheminement de renforts allemands et à retarder leur arrivée sur les plages.

Ce plan consiste à :

  • Couper toutes les lignes téléphoniques.
  • Incendier les dépôts de carburant.
  • Entraver les routes avec des arbres abattus.
  • Couper les voies de chemin de fer.

Marie de Looz d’Agimont, avoueresse (Hesbaye)

En novembre 1392, DE LOOZ D’AGIMONT Marie est confirmée avoueresse de Hesbaye jusqu’à la fin de sa vie. Son fils, DE LA MARCK Evrard II, sera son mambour.

Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)

Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.

 

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Cette sanction est maintenant définitive.

 

MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE

Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).

Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):

  • l’avertissement,
  • le blâme,
  • la retenue de traitement,
  • la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
  • la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
  • la démission d’office,
  • la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).