Le 6 janvier 1807, FRAIPONT Dieudonné, LISMONDE Jean-Jacques, DUCHATEAU Jean-Joseph et STEVENS Guillaume sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Admissions dans la Confrérie des Archers (Waremme)
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Archives par mot-clé : confrérie des archers
Théobald Frérard est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 29 juin 1806, FRERARD Théobald est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Admissions dans la confrérie des Archers (Waremme)
Le 8 juin 1806, FRAIPONT Joseph, HEYCOOP Pierre et MELARD Barthélemy-Hubert sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Admissions de prêtres dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 27 mai 1806, les prêtres de Waremme, JACQUES Stanislas-François et SWECK Robert, ainsi que le vicaire de Waremme, CROTTEN Henri-Joseph, ainsi que le marguillier FRAIPONT Philippe, sont admis à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Joseph Pyre, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1805, PYRE Joseph est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Guillaume Hennin, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1804, HENNIN Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Admissions dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 22 mai 1804, HENNIN Guillaume et HOGGE Jean sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Jean-François Dejeneffe, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1803, DEJENEFFE Jean-François est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Joseph Pire, domestique (Waremme)
En 1802, le domestique de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme est PIRE Joseph.
Jean Lhoest, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1802, LHOEST Jean est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.