En 1767, DUCHATEAU Joseph est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
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Fête de la Pentecôte (Waremme)
Le mercredi de la Pentecôte 1767, une messe est célébrée pour les membres défunts de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Tibau Fraipont admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 8 juin 1767, FRAIPONT Tibau (fils de FRAIPONT François de la Porte de Liège), mayeur et rentier de la ville, est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Admissions dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 20 janvier 1767, BODENNE Pierre (de Mouhin) et DEBONNIE Balthazar sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Guillaume Stevenne, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1766, STEVENNE Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Les Archers brassent leur bière (Waremme)
Le 6 janvier 1766, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide, à nouveau, de brasser. Chaque confrère doit apporter une mesure d’orge ou une mesure et demi d’épeautre.
François Fraipont, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1765, FRAIPONT François est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Les Archers ne brassent plus leur bière, mais l’achètent (Waremme)
Le 23 mars 1765, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide, qu’au lieu de brasser, chaque confrère payera désormais 25 sous pour acheter de la bière.
Beauduin Boux, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1764, BOUX Beauduin, empereur de la confrérie, est à nouveau nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Nouveau règlement à la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 6 janvier 1764, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide de n’admettre aucun confrère après huit heures du soir en hiver et neuf heures du soir en été, dès que le secrétaire est retourné avec son « registre ».