Le 14 mai 1679, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme constate des dommages à la Chambre louée à BUISSON Libert, à l’Hôtel de Ville de Waremme. Elle renonce cependant à lui demander réparation, car des dommages ont été causés par des soldats.
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La Confrérie des Archers sous-loue la chambre de l’hôtel de ville (Waremme)
Le 12 février 1679, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme loue à BUISSON Libert, la Chambre qui leur est réservée à l’Hôtel de Ville.
Mathy Jossar est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 20 mai 1678, JOSSAR Mathy est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
François Salice est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 6 janvier 1678, le curé de Waremme, l’abbé SALICE François, est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Mathias Plesserea est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1677, PLESSEREA Mathias est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Jacques Jossar et Hubert Fraipont sont admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1676, JOSSAR Jacques et DE FRAIPONT Hubert sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Guillaume Stéphani est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 29 avril 1674, le curé de Lantremange, l’abbé STEPHANI Guillaume, est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Le gouverneur de la Confrérie des Archers reçoit un mouton (Waremme)
En février 1673, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme délivre à son gouverneur un mouton en dédommagement des frais qu’il a dû supporter suite à la présence des soldats.
Admissions à la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1670, STEPHANY P. et BOUX Beauduin sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Les membres de la Confrérie des Archers doivent fournir de la nourriture (Waremme)
Le 20 juillet 1670, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme, décide que tout confrère livrera un demi-setier de froment et un demi-setier d’épeautre, avant la Toussaint, pour faire un brassin.