Pas d’autobus supplémentaires à Crisnée

Le 16 octobre 1926, puisque le service d’autobus organisé par Messieus GHYS et DEBIOLLE fonctionne à la satisfaction générale et que la commune est déjà desservie par le tram vicinal Ans-Oreye, le conseil communal de Crisnée émet un avis défavorable à la demande de la SNCV d’établir son propre réseau d’autobus.

Limitation de vitesse à Crisnée

Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.

Paiement de la rente due à la Fabrique d’Eglise (Crisnée)

Le 25 mars 1924, le conseil communal de Crisnée accorde au Bureau de Bienfaisance du village d’inscrire au compte de 1924, la somme de 128,08 francs, votée sur l’excédent du budget de 1924, pour solder la rente de 8 muids 5 setiers d’épeautre dur à la Fabrique d’Eglise.

Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)

Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.

Joseph Tomballe, instituteur (Crisnée)

Le 30 décembre 1918, vu la démission de l’instituteur intérimaire de CHABOT Victor, le conseil communal de Crisnée désigne TOMBALLE Joseph pour remplir ces fonctions à l’école des garçons du village et fixe son traitement à 136 francs par mois.

Taxe sur les chiens de luxe (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide de porter de 2 francs 50 à 5 francs la taxe à percevoir sur les chiens de luxe.

Relief for Belgium (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide que la consommation journalière de farine américaine, provenant de « Relief for Belgium » ne pourra dépasser 325 grammes par habitant

Des horaires pour glaner (Crisnée)

Le 29 juillet 1916, le conseil communal de Crisnée décide que le glanage ne sera autorisé que de 6 heures à 11 heures et de 14 heures à 18 heures.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

Abonnement téléphonique (Crisnée)

Le 4 avril 1914, le conseil communal de Crisnée souscrit un abonnement téléphonique annuel de 1200 communications.