La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

Abonnement téléphonique (Crisnée)

Le 4 avril 1914, le conseil communal de Crisnée souscrit un abonnement téléphonique annuel de 1200 communications.

Prévention des inondations à Crisnée

Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.

Désinfection à Crisnée

Le 17 juillet 1909, le conseil communal de Crisnée décide que MELIN Félix, d’Oreye, médecin-vaccinateur de l’école de Crisnée, peut requérir librement et aux frais de la commune, le concours de l’agent désinfecteur, lorsqu’il constate chez des indigents un cas de maladie nécessitant une désinfection.

Des étiquettes pour les archives (Crisnée)

Le 18 avril 1908, le conseil communal de Crisnée décide:

  • d’acquérir des étiquettes en émaillé pour le classement des archives communales
  • que le bourgmestre et le secrétaire possèderont chacun un trousseau de clés des bâtiments communaux

Pas de remise pour Jacques Bolland (Crisnée)

Le 30 novembre 1907, le conseil communal de Crisnée décide qu’il n’y a pas lieu de faire, à BOLLAND Jacques, une remise de son imposition communale de 1907, car si un poulain de 2 ans ne figure pas au rôle, c’est qu’il ne travaille pas, tandis que celui du réclamant a fait, seul, en 1906, tous les travaux des champs.

Mort du bourgmestre (Crisnée)

Le 26 mai 1905, le conseil communal de Crisnée, réuni d’urgence, décide que l’école du village sera fermée les 27 et 29 mai, en raison du décès et des obsèques du bourgmestre KERSTENNE Jacques. Il sera remplacé par KERSTENNE Louis.

KERSTENNE Jacques était âgé de 64 ans. Il était célibataire (?). Ses parents étaient KERSTENNE Jean-Jacques et COHEUR Marie.

Pas d’opposition au Conseil Communal (Crisnée)

En 1903, lors des élections communales à Crisnée, l’opposition n’obtient aucun représentant au Conseil Communal.

Le remplacement des bancs est postposé (Crisnée)

Le 17 décembre 1902, le conseil communal de Crisnée reconnait que les bancs de l’école des garçons ne conviennent plus. Mais leur remplacement ne pourra se faire avant 1904, faute de crédits.

Le docteur Melin, vaccinateur (Crisnée – Oreye)

Le 10 avril 1894, le conseil communal de Crisnée, à l’unanimité, nomme vaccinateur le docteur MELIN Félix, demeurant à Oreye. Une somme de 15 francs lui sera allouée annuellement pour la vaccination et le rappel de vaccination des enfants de familles indigentes.