Le Conseil Communal (Crisnée)

Le 22 octobre 1881, le conseil communal de Crisnée est composé de:

  • KERSTENNE Louis, secrétaire et bourgmestre
  • DENOMERENGE Pierre, échevin
  • DENOMERENGE Michel, échevin
  • DELTOUR Henri, conseiller
  • MARNEFFE Nicolas, conseiller
  • LOUWETTE Jean est démissionnaire
  • CHRETIEN est absent

La maison de Pierre Mouha (Crisnée)

Le 1er octobre 1881, le Collège Communal de Crisnée autorise MOUHA Pierre à construire une maison à 7 mètres 60 de celle de JACQUEMOTTE Nicolas, l’alignement devant se faire sur la haie de DELTOUR Henri et sur l’étable appartenant à MARNEFFE Joseph.

Instruction gratuite (Crisnée)

Le 14 août 1881, le conseil communal de Crisnée décide que l’instruction sera gratuite pour tous les enfants en âge d’école (de 6 à 14 ans), à la seule condition, pour les enfants ne figurant pas sur la liste des indigents, de payer les fournitures de classe.

L’abbé Janssen refuse d’enseigner à la commune (Crisnée)

Le 18 août 1870, l’abbé JANSSEN Guillaume, curé de Crisnée, informe le conseil communal du village qu’il refuse désormais de prodiguer l’enseignement religieux à l’école communale.

Cet enseignement sera confié à l’instituteur RUTTEN Henri-Joseph.

Crisnée ne peut pas acheter de matériel de lutte contre les incendies

Le 22 décembre 1861, le conseil communal de Crisnée, vu l’insuffisance des revenus de la commune, estime qu’il lui est impossible, pour le moment, d’acquérir une pompe à incendie et ses accessoires, comme recommandé par une circulaire du gouverneur de la province.

Les gardes civiques de Crisnée

Le 31 août 1848, le nombre de gardes civiques, inscrits par le conseil communal de Crisnée, a été de 72, dont 65 ont été portés au contrôle par le Conseil de Recensement.

Les combattants de la Deuxième Guerre sur le Monument (Crisnée)

Le 1er mai 1953, le conseil communal de Crisnée décide de placer, sur le monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, une plaquette sur laquelle MOUHA Alexis grave le nom des combattants, prisonniers, déportés et réfractaires de la Deuxième Guerre Mondiale. Il est à noter que le nom des Résistants n’apparaît pas sur cette plaquette.

Embellissement du Monument aux Combattants (Crisnée)

En 1953, le conseil communal de Crisnée décide de compléter le Monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, érigé en 1923, et de placer une bordure en pierre entre les bornes reliées par une chaînette.

Monument pour François Gilon (Crisnée)

En 1925, le conseil communal de Crisnée reçoit la notification officielle du décès de GILON François et décide de lui élever un monument dans le village.

Un monument en souvenir des combattants (Crisnée)

Le 7 avril 1923, le Conseil Communal de Crisnée décide d’élever un monument à la mémoire des combattants de la Première Guerre Mondiale, contre le mur de façade droit du cimetière. Réalisé par BACUS, d’Oreye, il portera les noms des 13 combattants du village.