Le 1er juin 2017, DENEUVILLE Jérôme est nommé bourgmestre de Remicourt, suite à la motion de méfiance votée par le conseil communal, à l’encontre de l’ancien bourgmestre, MISSAIRE Thierry.
Il était premier échevin.
Le 1er juin 2017, DENEUVILLE Jérôme est nommé bourgmestre de Remicourt, suite à la motion de méfiance votée par le conseil communal, à l’encontre de l’ancien bourgmestre, MISSAIRE Thierry.
Il était premier échevin.
Le 31 mai 2017, le conseil communal de Remicourt adopte une motion de méfiance à l’encontre du bourgmestre MISSAIRE Thierry (MR). Il est contraint de démissionner.
Il est accusé de « trahison » et d’incapacité à fédérer.
Le 30 juin 1994, à l’initiative du bourgmestre de Remicourt, le Conseil Communal marque son accord sur l’adhésion de la commune à la société de logements sociaux « Le Hôme Waremmien », en vue de trouver une destination aux bâtiments communaux de Momalle, tombés en désuétude, et de réaménager la place du village.
Le 1er juillet 1942, le conseil communal de Remicourt décide que l’exercice de la mendicité est toléré, les mercredis à Momalle, les samedis à Remicourt, Lamine, Hodeige, Pousset.
En 1977, MAQUOI Jean, socialiste, est nommé conseiller communal de Remicourt, après la fusion des communes. Il occupera cette fonction jusqu’en 1982.
Le 8 octobre 1983, MAQUOI Jean décède à Waremme. Il a été conseiller communal, échevin et bourgmestre de Hodeige. Il a été conseiller communal de Remicourt, après la fusion des communes.
Le 12 avril 1864, DUBOIS Emile-Joseph décède à Remicourt, à l’âge de 64 ans. Sa veuve (?) est BEGON Marie-Françoise.
Il a été fermier, conseiller communal et membre du Bureau de Bienfaisance de Remicourt.
Le 2 décembre 1843, le Conseil Communal de Remicourt adresse un courrier au Commissaire d’Arrondissement, pour proposer des réparations au presbytère du village, principalement à l’escalier et aux fenêtres.
Le 16 avril 1839, le Conseil Communal de Remicourt demande, à la Province de Liège, un subside qui servira à clore le cimetière, dont les murs ont « croulé » par vétusté depuis de longues années, et à recrépir les murailles de la tour de l’église.
Il est à noter, qu’en ce moment, le cimetière n’est séparé des prairies que par un simple fossé, constamment franchi par le bétail.
Le 29 juin 1833, le Conseil Communal de Remicourt adresse un courrier au Souverain, dans lequel il sollicite un subside, afin de pouvoir continuer les travaux de réparation du presbytère du village, qui a « croulé » à cause de sa vétusté.
Les habitants de la commune contribueront à cette restauration, par souscription volontaire, pour un montant de 800 francs, et la Fabrique d’église, pour un montant de 180 francs.