En octobre 2014, HERCK Yves habite au n° 8 de la rue Basse l’Adresse à Faimes. Il est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
En janvier 2015, NSABIMANA Daniel habite au n° 1 de la Ruelle du Presbytère à Berloz. Il est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
En octobre 2014, MULKERS Marie-Madeleine habite au n° 19 de la rue Muselle à Berloz. Elle est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
En janvier 2015, DE GOEIJ Marie-Paule habite au n° 8 de la rue Basse l’Adresse à Faimes. Elle est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
En janvier 2015, DELNOY Claire habite au n° 11 de la rue du Centre à Berloz. Elle est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
En 2023, BERNARD Bruno est membre de l’ASBL « Centre Rugamba Kigali » est constituée pour est de venir en aide aux enfants, victimes du génocide de 1994 au Rwanda.
Le 11 décembre 2017, NIHON Christophe et KELLEN Monique, d’Oreye, constituent la SPRL « Hostellerie des Paraboles », dont le siège est installé au n° 101/B de la rue L. Maréchal à Oreye.
En 1999 (?), l’ASBL « Les Bourlingueurs », est constituée à Haneffe (Donceel). Elle a pour but d’animer le village.
En 1998, la ville de Waremme bénéficie d’un important legs (de plusieurs centaines de milliers d’euros), en numéraire et en bijoux, d’une Bruxelloise, sous la condition de la constitution d’un « Fonds HEYNE-SAUTIER », destiné à soutenir les personnes âgées vivant dans la précarité.
En novembre 1942, le Résistant DERWA Arthur, dit « Arthur », recrute des volontaires parmi les nombreux réfractaires au travail forcé imposé par les Allemands. Il les trie sur le volet et ne choisit que de « vrais durs », pour constituer une sorte de commando, qu’il appelle au début « 6 T C 3 » (6ème Troupe de Choc, 3ème Compagnie). Ils seront payés 800 francs par mois.