Le 18 mai 1998, le collège des bourgmestre et échevins de Waremme accorde à la S.A. « Petrodis » un permis d’urbanisme pour la construction d’une station-service sur le terrain sis à l’angle de la rue de huy et de la chaussée Romaine.
Le 5 juin 2012, le ministre HENRY Philippe prend un arrêté d’expropriation de parcelles, nécessaire pour la construction d’un bassin d’orage à Waremme.
Le 9 août 1889, une loi prévoit la construction et la location d’habitations ouvrières salubres, et leur vente aux ouvriers, soit au comptant, soit par annuités. C’est la naissance de « l’Immobilier Social ».
En 1914, la famille MOES fait construire la « Villa MOES », rue de Huy à Waremme, à proximité des « Usines MOES ». (Plus tard, tout le site sera rasé. Une grande surface commerciale s’y installera, son parking occupant l’ancien emplacement de cette « Villa MOES »).
Le 12 janvier 1889, le conseil communal de Waremme décide de faire paver la rue de Sélys-Longchamps et de faire construire un trottoir sur l’accotement gauche de la chaussée.
En 1987, les bâtiments, construits par BEAUDUIN Jean-Joseph en 1895, pour abriter une usine d’engrais chimiques, près de la gare vicinale de Waremme, sont démolis.
Le 19 avril 1866, le Conseil Communal de Waremme approuve les plans, devis et cahiers des charges, établis pour la construction de la nouvelle Justice de Paix et des écoles primaires, ainsi que des habitations pour l’instituteur et l’institutrice.
Le 15 juin 1865, le Conseil Communal de Waremme décide de mettre en adjudication la confection des briques nécessaires à la construction des bâtiments des écoles primaires de la ville.
Le 12 juin 1862, le Conseil Communal de Waremme examine la première version des plans de construction de la future école primaire de la ville.
Ils sont rejetés car les conseillers estiment que les classes seraient trop proches de la Justice de Paix, risquant ainsi d’amener un certain nombre d’inconvénients.
Le 1er octobre 1857, le Conseil Communal de Waremme décide de construire un aqueduc pour l’écoulement des eaux vers la station de Chemin de Fer, afin d’améliorer l’état de la rue qui conduit à cette gare.