Ecole primaire des Filles de la Croix (Waremme)

Vers 1948, l’école primaire, annexée à l’Institut des Filles de la Croix, est construite dans « Li pré des béguènes » à Waremme.

Prolongement de l’avenue Guillaume Joachim (Waremme)

En janvier 1948, le conseil communal de Waremme décide de prolonger l’avenue Guillaume Joachim vers la rue Gustave Renier. Cet aménagement est devenu nécessaire car l’Etat a acheté des terrains à cet endroit, pour y construire les nouveaux bâtiments de l’Athénée Royal.

L’Athénée Royal sur les terrains de Lafontaine (Waremme)

En janvier 1948, l’Etat achète la propriété « DE LAFONTAINE » pour y construire les nouveaux locaux de l’Athénée Royal de Waremme.

Une scène aux « Variétés » (Waremme)

En 1947, HUMBLET Jean-Pierre fait construire une scène dans sa salle de cinéma « Les Variétés » à Waremme. Il désire y organiser des représentations théâtrales. Il rajoute également de nouveaux sièges pour porter la capacité de la salle à 600 places.

L’Athénée Royal aura de nouveaux bâtiments (Waremme)

En septembre 1947, le département des travaux publics autorise l’achat de la propriété « CHANTEUX » pour y construire le nouvel Athénée Royal de Waremme. Il sera édifié à l’angle de la rue Gustave Renier et de l’avenue Guillaume Joachim.

Alphonse Peigneux construit une piscine (Waremme)

Au début de l’année 1942, PEIGNEUX Alphonse construit la première piscine de Waremme, dans sa maison de la rue de Huy à Waremme.

Cette piscine a une longueur de 13 mètres, une largeur de 6 mètres et une profondeur variant de 0,90 mètre à 2,35 mètres. Une grande verrière (qui peut s’ouvrir par beau temps) donne sur une terrasse.

Il conclut un accord avec les Ateliers « Moës » pour utiliser l’eau chaude produite dans l’usine. Pour cela, il aménage une canalisation sous la rue de Huy, pour l’amener jusqu’à son bassin.

Waremme veut construire de nouvelles routes

En juin 1941, la ville de Waremme désire construire de nouvelles routes. Elle les a tracées et délimitées à travers les champs. Ces surfaces ne peuvent plus être cultivées par leur propriétaire.

L’Intérêt des Allemands pour les Ateliers Moës (Waremme – Allemagne)

En 1940, lorsque les troupes allemandes s’installent à Waremme, les ingénieurs d’Outre-rhin comprennent immédiatement tout l’intérêt que peut représenter l’entreprise MOES de fabrication de moteurs, pour l’économie de Troisième Reich.

Bien que les Ateliers MOES évitent de produire plus qu’il n’est strictement nécessaire pour rester crédibles, les autorités allemandes leur accordent beaucoup de liberté pour engager de la main d’œuvre locale. C’est ainsi que, grâce à la complicité de la direction de l’usine, ne nombreux Hesbignons se soustraient au travail obligatoire en Allemagne, en invoquant l’intérêt de la construction et du dépannage des locomotives de mines.

Nouvelles constructions à Waremme

A partir des années 30, des maisons commencent à être construites en bordure de l’avenue des Tilleuls, partie des anciens remparts, nivelés en 1914, comprise entre la place de la Porte de Liège et la rue du Baloir.

Achat d’un terrain par les Mutualités Socialistes (Waremme)

En 1939, les Mutualités Socialistes achètent un terrain, avenue de la Résistance à Waremme. C’est sur ce terrain que les nouveaux locaux de la Clinique Joseph Wauters seront construits après la Deuxième Guerre Mondiale.