Les cultivateurs waremmiens « trafiquent ».

En 1942, les paysans mettent beaucoup de mauvaise volonté à exécuter les ordonnances de l’occupant. A tel point que l’on a constaté que la région de Waremme fournit, en froment, un rendement inférieur de deux sacs à celui des Polders !

Nombreuses sont les cachotteries. Ainsi, à l’étage, toute une chambre peut être remplie de sacs d’avoine. Du grain peut être enterré dans des caisses. Sous des ballots, dans une obscurité totale, on engraisse des porcs.

Pas de danger en cas de contrôle : ils restent silencieux en se contentant d’écouter. Pourtant, tout est vérifié : traite dans les étables, écrémeuses, battage à la machine. Mais les contrôleurs, très sévères au début, ont compris que leur « carrière » dépend de leurs facultés d’accommodement.

N’en verra-t-on pas certains exécutés par des inconnus. Alors, ils ferment les yeux de plus en plus. Ils savent que derrière leur dos, on enlève le plomb des écrémeuses, qu’on repoinçonne plus tard avec une pince trafiquée, commandée chez un forgeron. Quand on compte les sacs, ils écrivent le nombre qu’on leur indique. Quand on leur parle d’une étendue plantée, ils font confiance, sans vérifier. Quand on cuira des frites à l’huile de colza, ils se tairont.

Les gendarmes eux-mêmes, sont complices de l’illégalité. Ces braves pandores ne signeront-ils pas des rapports d’incendie sans se rendre sur place. On emplira un chariot de bottes de colza, on les foulera au pied puis on récoltera la semence déposée au fond. Ou bien on frappera les gerbes sur une bâche. Ensuite, on fera des tiges une meule que l’on incendiera. En cas de risque, on demandera l’aide des clandestins.

Opération « anti-drogue » à la sortie des écoles de Waremme

Le 22 avril 2009, 45 policiers, accompagnés de chiens « renifleurs de drogue » contrôlent 200 jeunes qui sortent de l’école et qui se rendent à la gare de Waremme pour prendre leur train. Deux pacsons « d’herbe » sont découverts.

Waremme veut faire respecter la « Zone Bleue »

Le 16 août 2005, les autorités communales de Waremme décident de lancer une grande opération visant à faire respecter la « Zone Bleue » de stationnement dans la ville. Des agents communaux et des membres de la police sillonnent les rues. Plus de 80 véhicules sont constatés en infraction. Une invitation à payer est envoyée à chaque propriétaire.

Importante opération policière à Waremme

Le 22 février 2002, une trentaine de policiers, dont deux maîtres-chien, investissent la Gare de Waremme. Ils patrouillent et effectuent des contrôles d’identité dans la gare et dans les cafés qui bordent la place Ernest Rongvaux. Bilan de l’opération : sept saisies de haschisch, cinq confiscations d’armes blanches prohibées et l’interpellation d’un individu qui n’honorait pas les clauses de sa libération conditionnelle.

Edmond Leburton, Ministre (Waremme – Belgique)

En 1954, LEBURTON Edmond décroche son premier portefeuille ministériel : la santé publique et la famille, dans le gouvernement dirigé par VAN ACKER Achille. Il occupera cette fonction jusqu’en 1958. Il va règlementer le contrôle des industries pharmaceutiques.

Comme bourgmestre de Waremme, il est remplacé par MONJOIE Henri, qui siège depuis plus de 25 ans au Conseil Communal. Il faut attendre que celui-ci soit pensionné de la RTT, car il y a incompatibilité pour un fonctionnaire à occuper la fonction de bourgmestre.

Les Allemands interdisent d’écouter la radio (Waremme – Belgique – Allemagne)

Le 3 janvier 1942, l’occupant allemand interdit d’écouter toute émission radio non contrôlée par lui.

La « Fabrique Centrale de Waremme » devient une simple râperie

En 1875, suite à des difficultés financières, la Société d’Agriculture Industrielle de Waremme est liquidée ; son établissement, la « Fabrique Centrale de Waremme », devient une simple râperie et passe sous le contrôle de la Sucrerie Wanze.