Le 27 avril 1837, les obsèques de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent sont célébrées à l’église Saint-Antoine, à Liège. Le convoi funèbre part ensuite pour Waremme. Les routes sont encombrées par la neige. Le corps est porté par les conseillers communaux de Waremme dans les rues de la ville. Une messe est dite à l’église et le corps est inhumé près de la porte de l’édifice.
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Accident à Rosoux
Le 5 mars 1854, un convoi vers Bruxelles se renverse à Rosoux, en raison d’une roue busée (?). Il y a 2 tués, 10 personnes souffrant de fractures graves et un cinquantaine de simples contusions. Deux des blessés mourront de leurs blessures.
Accident de chemin de fer (Groenendael)
Le 3 février 1889, un terrible accident de chemin de fer se produit à Groenendael. Le train déraille et un pont s’écroule sur le convoi. Il y a de 50 à 60 victimes.
Les ouvriers waremmiens
Vers 1895 (?), les ouvriers de la région de Waremme qui travaillent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois, se lèvent à 3h30 ou à 4h du matin, font à pied les 5 ou 7 kilomètres qui les séparent d’une gare. Certains ont la chance d’attendre le convoi dans un vieux wagon qui peut servir d’abri à une vingtaine de personnes (il y a 300 abonnés dans la région). Lorsqu’ils montent dans le train, ils s’efforcent d’y récupérer 1/4 h de sommeil.
Ils portent généralement les vêtements de la veille, qui n’ont pu être ni brossés, ni séchés, de semaines en semaines. Leur casquette devient de plus en plus loqueteuse et luisante. Lors des grands froids, ils portent une écharpe sur leur costume de velours roux ou de coton chiffonné.
Action de la Compagnie 419 (Berloz)
Le 4 juillet 1944, des Résistants de la « Compagnie 419 », dirigée par LEBURTON Edmond, dit « Jean-Pierre », font dérailler un convoi de chemin de fer à hauteur de Berloz. Le trafic vers Bruxelles est interrompu pour un certain temps.
La « Madelon » de Lamine
En juin 1944, une dame surnommée « La Madelon » habite Lamine. Sa maison va servir de base aux Résistants qui vont tendre un guet-apens à un convoi allemand. Cette attaque sera le détonateur d’une des plus sanglantes batailles entre l’armée allemande et la Résistance hesbignonne.
Un convoi pour Auschwitz (Liège – Allemagne)
Le 26 septembre 1942, un convoi part de (transite par ?) Liège, à destination d’Auschwitz. Il y emmène les Juifs qui ont été arrêtés.
François Bourotte (Spa – Pousset)
Le 10 mai 1940, BOUROTTE François et son épouse SERVAIS Augustine passent la nuit à la ferme « RENOTTE » de Pousset. Garagiste à Spa, il a été réquisitionné, avec son véhicule, pour intégrer une colonne de transport militaire belge. Ils reprendront la route le lendemain matin avec ce convoi.
Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)
Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:
- BOEKER Antoine, dit « Constant »
- MASSART Albert, dit « Max »
- PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
- LITTLE Henry, dit « Jim »
- RORIVE Jean, dit « Grincheux »
- DETHIER Edmond
- FRANKINET Laurent
- YOUNGBLOOD Jérôme
- …
Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.
Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.
Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.
Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.