La pompe de l’Hôtel de Ville détruite (Waremme)

Vers 1969 (?), la pompe qui se dresse au milieu du carrefour près de l’Hôtel de Ville de Waremme est emportée par l’entrepreneur chargé d’aménager la voirie. (Une réplique sera réinstallée bien plus tard sur le trottoir de l’Hôtel de Ville).

Les anciennes pierres tombales (Jeneffe)

En 1848, le curé de Jeneffe, l’abbé DEMARET Arnold, recopie les inscriptions et dessins se trouvant sur les anciennes pierres tombales se trouvant dans son église.

Les pauvres se plaignent de la distribution des secours (Hodeige)

En 1733, les pauvres de Hodeige adressent une supplique à l’archidiacre du Brabant, précisant que les « Revenus des Miches » des Communs Pauvres de Hodeige sont également distribués aux censiers et aux autres habitants. Ils se plaignent également de ce que les mambours ne leur ont pas rendus leurs comptes. Copie de la supplique sera adressée au curé du village par l’archidiacre, ainsi qu’au mambour, pour y répondre.

Chemin de Croix pour l’église (Remicourt)

Le 14 mars 1913, un nouveau Chemin de Croix, en 14 tableaux, est installé en l’église de Remicourt. Il est peint sur toile fixée sur zinc avec cadres en chêne de 66 x 49 cm. C’est une copie de celui de Notre-Dame d’Anvers (oeuvre de JANSSENS J. de 1550). Cette copie a été réalisée par BEYAERTS Ch. de Bruges.

Ce Chemin de Croix est offert par Madame RIGO-BODEN. Il est béni par le Doyen MATERNE, en présence des curés de Lamine, Hodeige et Pousset.

La ferme en carré d’Oreye

Dans la première moitié du 17ème siècle, le Seigneur d’Oreye, le Baron DE BOCHOLT Godefroid, fait construire (ou reconstruire ?) une ferme en carré à Oreye (à l’endroit qui sera bien plus tard la rue des Combattants).

Deux pierres en témoignent:

  • La première porte la date de 1619 et les armes de la famille DE BOCHOLT – GROESBEECK. Elle surmonte le porche d’entrée.
  • La deuxième (copie de l’originale qui a été transportée à l’hôtel DE BOCHOLT à Liège) est visible sous le même porche et porte l’inscription « GODft DE BOCHOLT : ORAY : GRAN ville … GRAND MAIEUR DE LIEGE … DAME MARGARITA DE GROISBECQ : SON : EPOUSE … »

Le testament de Napoléon (Waremme – Longchamps – France)

Le 29 septembre 1824, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond recopie de testament de BONAPARTE Napoléon, pour la fête de son père, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent.

Michel-Edmond fait un cadeau à son père (Waremme – Longchamps – France)

En 1828, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond recopie un poème de HUGO Victor, comme cadeau pour son père DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent.

Transactions immobilières (Waremme)

Le 12 mai 1430, SANDRE, le boulanger de Waremme, exhibe copie du testament de feu CORIN Thiry, boucher de Hodeige, déclarant que celui-ci laisse neuf verges grandes de terres situées dans l’alleu de la Haute Cour de Waremme. Mathieu et Tbyrions, respectivement frère et enfant du feu DE HODEIGE Corin, affirment sous serment que le défunt a réellement laissé ces terres par testament audit SANDRE.

La Cour confirme la propriété des terres. SANDRE transporte (vend) ensuite à dame DE LONCHAMPS Hedwige demeurant à Waremme, stipulant pour Helwy sa cousine, fille légitime de feu DE WAREMME Jean, boulanger, les susdites neuf verges de terres, situées à Waremme, au lieu-dit « La Chapelle » et jouxtant la terre des héritiers du chevalier DE LAMINES Raes.

La transaction s’effectue devant la Haute Cour de Justice de Waremme, composée de:

  • DE FERME Robert, mayeur de Waremme et président de la Cour.
  • DE MUHIN Rigaulz, membre et échevin
  • DE LONGCHAMPS Jean, membre et échevin
  • THOBAI Jean le jeune,
  • DE JONDOGNE Jean, de Lantremange

Capitulaire « Admonitio Generalis » de Charlemagne

Capitulaire "Admito Generalis", Charlemagne

En 789, soucieux d’élever le niveau intellectuel de ses cadres, CHARLEMAGNE édicte un capitulaire (ordonnance d’un roi Franc) dénommé « Admonitio Generalis » dans laquelle il ordonne qu’une école soit ouverte dans chaque cité épiscopale, pour y accueillir les jeunes enfants que les parents désirent y envoyer. Il oblige également les Evêques à constituer des bibliothèques, en faisant copier les œuvres classiques les plus importantes.