En mai 1984, un concours d’obstacles se déroule au manège les « Bottes d’or » à Corswarem.
Il s’agit du premier meeting du C.C.L.R. de la saison.
En mai 1984, un concours d’obstacles se déroule au manège les « Bottes d’or » à Corswarem.
Il s’agit du premier meeting du C.C.L.R. de la saison.
En mars 1984, le Vlaamse Block dépose une proposition visant à rattacher Corswarem et Otrange à la province du Limbourg.
Devant l’inquiétude des habitants, plusieurs parlementaires francophones, dont le député COEME Guy, déposent une motion devant le Comité de Concertation, déclarant que cette proposition de loi lèse gravement les intérêts de la Wallonie.
En février 1984, suite à une demande du sénateur COEN Jules, le ministre des communications, des postes, des télégraphes et téléphones, DE CROO Herman, fait savoir que le bureau de poste de Corswarem sera prochainement équipé de guichets pare-balles.
Ce bureau a été victime d’un hold-up récemment.
En 1778, considérant que la langue française est devenue « la plus commune et générale à Corswarem », le Prince-Evêque de Liège, DE VELBRUCK Charles-François, interdit de plaider en flamand devant la cour locale.
En 1925, les classes du IVème degré de l’Ecole Communale des Filles de Waremme sont, notamment, composée de:
Ce 4ème degré, composé des 7ème et la 8ème années, après la 6ème primaire, est suivi par des élèves qui ne désirent pas s’engager dans l’enseignement secondaire, mais souhaitent néanmoins acquérir un complément de formation.
Le 25 mai 2007, CORSWAREM Henri démissionne de sa fonction d’administrateur-délégué de la S.A. « Quincaillerie Générale Maison Corswarem » et est remplacé par sa société, la S.P.R.L. « COHEJOPI ».
Au début de juillet 1994, l’abbé KESENNE, originaire de Corswarem, est assassiné au Rwanda.
En décembre 1985, la radio libre « Radio Sans Frontière » déménage de Corswarem pour s’installer dans le quartier de la rue du Pont à Waremme.
En 1945, Monsieur CORSWAREM fonde une quincaillerie à Waremme.
Fin février 1945, les locaux de l’école communale et de la Justice de Paix de Waremme, très ébranlés par le bombardement d’août 1944, ne sont plus que des ruines. On estime le prix des réparations (prix du 3ème trimestre 1939) à 107.922,30 francs et 81.165,65 francs, soit un total de 189.087,95 francs. La démolition est donc décidée. C’est DANIELS Guillaume, de Corswarem, qui remporte la soumission.