En septembre 2024, VANSEVEREN Roland, conseiller communal de l’Opposition (ECOLO) à Berloz, annonce qu’il ne se représentera pas aux prochaines élections communales, en raison des insultes, des menaces, voir des coups, qu’il aurait reçus durant la dernière législature.
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Condamnation des agresseurs (Hodeige – Liège)
Le 22 janvier 1476, une amende est infligée par la Cour de Justice de Hodeige, par recharge des échevins de Liège, aux coupables de l’agression du mayeur de Liège, LE PREUDHOMME Collart, originaire de Hodeige, par certains habitants du village:
- 3 florins d’or du Rhin pour les complices de ceux qui ont porté les coups;
- 3 florins d’or pour tous les habitants du village qui se trouvaient sur la place publique au moment des faits;
- l’obligation pour tous les autres habitants, qui n’ont pas assisté aux faits mais qui n’ont pas fait diligence contre les coupables et qui se sont donc rendus coupables de négligence, de venir à Liège pour faire amende honorable au Chapitre de Saint-Denis
Collart le Preudhomme frappé (Hodeige – Liège)
Le 10 décembre 1475, jour de fête à Hodeige, certains habitants du village frappent le mayeur de Liège, LE PREUDHOMME Collart, originaire de Hodeige.
La Cour de Justice de Hodeige
En (?), le village de Hodeige possède une Cour de Justice dont le mayeur et les 7 échevins sont nommés par le Chapitre Saint-Denis, Seigneur foncier de l’endroit.
La justice s’y rend au nom du Chapitre, qui perçoit une certaine part des amendes. La Cour de Justice intervient et préside aux Plaids Généraux.
Dans le principe, c’est devant elle:
- qu’on règle les affaires communales;
- qu’on juge les coups et blessures
- qu’on juge les coups sans blessure
- qu’on juge les contraventions légères
- qu’on répare les torts et les injustices
Les coupables de ces infractions sont condamnés à des amendes.
Elle n’est compétente que pour les infractions dont la peine ne dépasse pas 5 florins d’or. Dans les autres cas, elle doit prendre recharge aux échevins de Liège, qui lui indiquent la sentence à prononcer.
Préparatifs de la bataille de Dammartin
Le 25 (?) août 1325, le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, se prépare à la bataille de Dammartin. Il prend un maximum de précautions pour que les coups ne puissent le transpercer: il se recouvre le corps d’une longue cotte de mailles, renforcée de plaques de fer ceignant tous ses membres, et aptes à parer toutes les percussions les plus violentes des piques, pertuisanes, lances et autres engins pointus analogues. Mais quand il veut enfourcher son fidèle destrier « Moreau de Dave », il doit demander l’aide de deux « solides et rudes gaillards ».
A la remarque qui lui est faite que son poids est nettement exagéré, il répond d’une voix tonitruante: « Or ça, qu’on se taise ! Je vous jure par Dieu et Saint-Georges que s’il a fallu deux piquiers pour me hisser sur Moreau de Dave, il en faudra quatre au moins pour me démonter. A la garde de Dieu et de Saint-Georges ! »
Selon la coutume, des gardes de corps sont préposés à maintenir la bride de Moreau de Dave; cet honneur est réservé à DE TROGNEE Robert et DE HEMRICOURT Thomas. Les deux frères du châtelain de Waremme, DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould et (?) Libert Butor, se placent à ses côtés.
Frédéric Delnatte, inculpé de coups et blessures (Faimes – Borlez)
Dans la nuit du 24 au 25 septembre 2018, l’échevin de Faimes, DELNATTE Frédéric, roue de coups son épouse, JAMAR Nadine, ancienne magistrate fédérale et soeur du gouverneur de la Province de Liège JAMAR Hervé, lors d’une violente dispute à leur domicile de Borlez. Elle s’enfuit et se réfugie chez un voisin.
L’échevin sera interpellé par la police, à son domicile, le mardi. Inculpé, il sera libéré sous conditions.
Arrestation de Julien Moës (Lamine – Allemagne)
Le 7 août 1944, MOËS Julien, de Lamine, est arrêté par les Allemands. Il est emmené, pieds nus, dans le village, un sac sur la tête pour dissimuler son visage en sang, conséquence des coups reçus lors de son arrestation.
Il sera emmené à la Kommandantur de Huy, puis au siège de la Gestapo à Liège, avant d’être incarcéré à la prison Saint-Léonard.
Il a été dénoncé par LONGREE André, fait prisonnier lors du combat de Lamine, le 16 juin 1944. Ce dernier a révélé aux Allemands qu’une importante cache d’armes était située dans la maison « Moës ».
De nouvelles poubelles (Waremme)
En février 2016, l’échevine VAN KEERBERGHEN Aurélie annonce une uniformisation du mobilier urbain de Waremme, avec l’achat de 32 poubelles publiques en acier galvanisé, de couleur gris anthracite, résistant au vandalisme, au feu, aux coups et aux griffes. Le coût total s’élève à 9.989, 76 euros, subsidié à 50% par la Région Wallonne.
Rémunération de l’avoué (Waremme)
Au 11ème siècle, l’avoué de Waremme reçoit le tiers des amendes pour coups avec ou sans blessures, ainsi que le tiers de celles infligées aux larrons (voleurs) arrêtés.
Reconstitution du meurtre de Peter Clooten (Waremme)
Le 6 novembre 1987, la reconstitution du meurtre de CLOOTEN Peter est organisée par la juge d’instruction REYNDERS Danielle, sur les lieux du drame, au café » la Cafétéria », au numéro 40 de la rue Joseph Wauters à Waremme.
Comment les faits se sont-ils déroulés ?
Le vendredi 20 mars 1987, CLOOTEN Peter, un peu éméché, aurait cherché noise à plusieurs consommateurs de l’établissement. Malgré les remarques qui lui auraient été adressées, il aurait continué à la faire. Il aurait fait mine de passer derrière le comptoir, sans tenir compte des recommandations de s’en aller du patron du bistrot, BURTON Francis. Ce dernier aurait pris peur (CLOOTEN Peter pèse une centaine de kilos) et aurait saisi un couteau, avec lequel il aurait frappé CLOOTEN Peter une dizaine de fois au ventre.
A l’issue de la reconstitution, BURTON Francis est arrêté et inculpé de meurtre.