Le 10 novembre 2014, la Chambre du Conseil de Liège confirme la détention préventive de MARDAGA Marcelle, une Waremmienne de 44 ans qui a tué son ex-belle-mère, LEWILLON Claudine, d’un coup de couteau, après une altercation avec son fils.
L’enquête est presque clôturée et le dossier devrait bientôt faire l’objet d’une procédure de renvoi vers la Cour d’Assises.
Le 28 septembre 2010, HABRAN Marcel est à nouveau reconnu coupable de l’attaque du fourgon de la « Brink’s », en janvier 1998 à Waremme, par le jury du second procès d’assises qui se tient à Nivelles.
Le 2 avril 2010, le procès « Habran bis » débute devant la Cour d’Assises de Nivelles, suite à la décision de la cour de cassation.
Le 12 octobre 2009, HABRAN Marcel quitte la prison de Nivelles, suite à la décision de la Cour de Cassation d’annuler la décision de la Cour d’Assises de Liège, dans le cadre de l’attaque du fourgon de la « Brink’s » à Waremme, le 12 janvier 1998. Il attendra donc libre le procès devant la Cour d’Assises de Bruxelles.
gerry mossoux
Le 11 décembre 2008, MOSSOUX Gerry est reconnu coupable de l’assassinat de sa tante, RENSON Jeanine, par la cour d’assises du Limbourg. Il est condamné à la réclusion à perpétuité et est incarcéré à la prison de Hasselt.
Le jour-même, il se pourvoit en cassation, au motif que le jury n’a pas motivé la préméditation.
gerry mossoux
Le 5 décembre 2008, la cour d’assises du Limbourg entame à Tongres le procès de MOSSOUX Gerry, accusé d’avoir assassiné d’une quinzaine de coups de marteau, sa tante RENSON Jeanine, à son domicile de Waremme.
éliane zaros
Le 29 mai 2007, le procès de ZAROS Eliane, suspectée d’avoir assassiné LATOUR Pauline en juin 2005 à Waremme, s’ouvre à la cour d’Assises de Liège.
Le 22 janvier 2007, deux des gangsters impliqués dans le braquage de la poste de Waremme, le 26 septembre 2002, comparaissent devant les Assises du Hainaut. Ils devront répondre de tentative de meurtre sur deux policiers waremmiens.
Le 12 novembre 1962, la Cour d’Assise de Liège acquitte VANDEPUT Suzanne, accusée d’avoir supprimé son enfant atteint de malformations congénitales, provoquées par la « Thalidomide », un sédatif prescrit aux femmes enceintes.
violette nozière
Le 10 octobre 1934, NOZIERE Violette est condamnée à mort par la Cour d’Assises de Paris, pour l’empoisonnement de ses parents. Elle est âgée de 18 ans.