Guy Coëme est renvoyé devant la Cour, dans l’Affaire « Dassault » (Waremme – Belgique – France)

Le 4 décembre 1997, COEME Guy est renvoyé devant la Cour de Cassation dans le cadre du procès dit « Dassault ».

Demande de mise en accusation de Guy Coëme dans l’Affaire « Dassault » (Waremme – Belgique – France))

Le 4 novembre 1997, le procureur général près la Cour de Cassation, LIEKENDAEL Eliane, adresse au président de la Chambre des Représentants, LANGENDRIES Raymond, une demande de mise en accusation de l’ancien ministre de la défense nationale, COEME Guy, dans le cadre de l’affaire « Dassault ». On soupçonne Dassault d’avoir versé à des responsables politiques des commissions occultes, pour arracher le marché des contre-mesures électroniques des chasseurs F16 de la Force Aérienne belge en 1989.

Guy Coëme est condamné dans l’Affaire « INUSOP » (Waremme – Belgique)

Le 5 avril 1996, COEME Guy est condamné à deux ans de prison avec sursis, par la Cour de Cassation, dans le cadre du procès « INUSOP ».

Réquisitoire dans l’Affaire « INUSOP » (Waremme – Belgique)

Le 28 février 1996, le réquisitoire du procureur général VELU, devant la Cour de Cassation, dans le cadre de l’affaire « INUSOP » est moralement impitoyable pour COEME Guy.

La Cour de Cassation compétente dans l’Affaire « INUSOP » (Waremme – Belgique)

Le 12 février 1996, la Cour de Cassation se déclare compétente pour poursuivre l’examen de l’affaire « INUSOP ».

Ouverture du Procès « INUSOP » (Waremme – Belgique)

Le 5 février 1996, le procès dit « INUSOP » s’ouvre devant la Cour de Cassation. La Constitution prévoit, en effet, que des infractions commises par un ministre dans l’exercice de ses fonctions, doivent être jugées par la plus haute juridiction du pays. COEME Guy était dans ce cas. Les autres inculpés sont « aspirés » par cette procédure.

Manifestation de soutien à Guy Coëme au Métropole (Waremme)

Le 4 février 1996, COEME Guy réunit entre mille et deux mille personnes, amis et sympathisants, lors d’un goûter dans « sa ville » de Waremme, à la salle du Métropole, la veille de sa comparution devant la Cour de Cassation, dans l’Affaire « INUSOP ». C’est SADZOT Anne, sa secrétaire parlementaire depuis des années, qui a imaginé cette opération de solidarité

La Sucrerie « Mommens-Laurenty » (Waremme – Bleret)

En juin 1866, MOMMENS-LAURENTY sont fabricants de sucre à Waremme, où ils ont une exploitation agricole. Ils sont également locataires d’une ferme à Bleret, exploitée pour leur compte par le fermier PRUDHOMME Pierre. Ils ont refusé de payer les droits de barrière en passant devant le poteau de la barrière de Bleret et demandent à être exemptés de ces droits sur le transport des betteraves entre leurs exploitations et la sucrerie. Cette contestation ira jusqu’à la Cour de Cassation.