Le 22 septembre 1637, l’avocat DETHIER François est nommé échevin de la Souveraine Justice de Liège.
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Vente de terres à Lantremange
Fin de l’année 1600, DE JAYMAERT Jean, dit « de Moege », vend 5 bonniers de terre à BRIGADE (BRUGARD) Lambert, devant la Haute Cour de justice de Lantremange.
Lantremange sera dédommagée
Le 20 octobre 1580, DE LANTREMANGE Godefrin produit une attestation de la Cour de Justice du village pour les dommages subis pendant la guerre.
Christian Boux, Echevin (Lantremange – Stavelot – Malmedy)
Le 10 juin 1575, le Mayeur de Lantremange, BOUX Christian, est nommé échevin à la Cour de Justice du lieu, suite au décès de HUBAR Amele, dit « Miélis ».
Cette nomination est effectuée par l’abbé de Stavelot-Malmedy sur base d’une liste de 3 noms transmise par les échevins de Lantremange.
Contestation foncière à Lantremange
Le 22 avril 1552, une contestation de biens fonciers situés à Willinne (dépendance de Berloz), entre NYES Marcellis et les frères, FRADEHINE Godefroid et FROIDEHINE Hendrick de Hasselt, est jugée à Lantremange. Les frères FRADEHINE sont déboutés.
Ils en appellent à la Cour de Malmedy. Aussitôt, le Conseil Ordinaire de Liège émet un mandement qui déclare incompétente la Haute Cour de Malmedy.
La Cour scabinale de Lantremange
En juin 1533, la Cour de Justice de Lantremange rend une décision. GODEFRIN Jean est Mayeur et échevin. Trois échevin signent à la « Loi de Liège » et trois autres à la « Loi d’Aix ». Un seul échevin est « aux deux lois ».
La Cour scabinale de Lantremange est donc partagée suivant les deux lois.
La « Loi de Liège » en application à Lantremange
En 1445, la « Loi de Liège » est bien en application à Lantremange, au côté de la « Loi d’Aix », malgré les termes de la « Concordia Amicabilis » du 12 mars 1300.
Par l’introduction de sa Loi dans la Justice de Lantremange, le pouvoir liégeois a réalisé un empiètement substantiel, qui servira d’autres desseins. Sans doute, pour l’instant, la Loi de Liège ne s’applique encore qu’aux droits et propriétés du nouveau Seigneur, mais par une extension progressive, elle va s’infiltrer dans d’autres secteurs de la vie juridique et économique de la communauté de Lantremange.
La volonté d’usurpation ne se limite pas au seul village de Lantremange, ni à la Principauté liégeoise. Parmi les voisins de Stavelot-Malmedy, Cologne, Aix-la-Chapelle, les Ducs de Luxembourg et de Limbourg, participent à « la curée ». La petite Principauté ardennaise a toujours souffert de l’absence d’une force armée capable de défendre son droit.
Jean de Rochefort renonce à ses droits (Hemricourt – Lantremange)
En 1357, DE ROCHEFORT Jean renonce à sa part dans les seigneuries de Hemricourt et de Lantremange, devant la Cour féodale de l’Evêque de Liège, et devant les Cours de Justice locales de Hemricourt et de Lantremange.
Heluid de Lieriwe devant la Cour de Lantremange
Le 15 octobre 1445, devant la Cour de Justice de Lantremange, jugeant à la « Loi de Liège », DE LIERIWE Heluid (Helwy), veuve de l’écuyer LEBEAU Jean, et DE SAIVE Jean, mari de LEBEAU (LEBEAL) Isabelle, soeur de LEBEAU Guillaume, assignent à l’Aumône de la Cathédrale 8 muids d’épeautre sur les terres de la dîme de Lute, dite « Les Engiers », à Lantremange.
La Cour de Justice de Lantremange est composée de:
- DE LANTREMANGE Libert, mayeur
- DE SAIVE Thiry, échevin
- DE SAIVE Jean, échevin
- DE MOLIEN Libert, échevin
- DE LANTREMANGE Adam, dit « Robert », échevin
- CHAMONT DE PUCEY Guillaume, échevin
Jean Lebeau, chanoine et seigneur (Hemricourt – Lantremange – Liège)
Le 7 août 1361, par transports devant la Cour jurée de la Chambre de Saint-Lambert à Liège, LEBEAU (LEBEL) Jean, chanoine de Saint-Lambert et prévôt de Saint-Jean, prend possession des seigneuries de Hemricourt et de Lantremange.