Au printemps 1942, LEGRAND Arthur, président de la section de Waremme de la Croix-Rouge, décide d’organiser un cycle de formation de secouristes-brancardiers et d’auxiliaires de la santé publique.
Sur les 54 personnes qui suivront la formation, 36 seront diplômées, suite à une épreuve devant des examinateurs choisis parmi les médecins de Waremme
Le 27 juillet 1940, le commissaire d’arrondissement DOYEN informe le bourgmestre de Waremme que le commandant allemand de la place lui signale « des contestations » entre Allemands et civils, ou entre civils, à propos du nouveau cours de Reichsmark. Il signale que le cours d’un Mark est de 12 francs cinquante.
Pendant le mois de mai 1940, les cours sont suspendus à l’Athénée Royal de Waremme. L’armée belge occupe d’abord l’école, puis les Allemands jusqu’aux grandes vacances.
A partir du 17 septembre 1939, des cours de solfège, de piano, de violon, de clarinette, de saxophone, de trompette, de trombone et de tuba sont donnés à l’Académie de Musique de Waremme. Le prix des cours est de 10, 15 et 20 francs par mois.
Des cours de flûte, de violoncelle, d’harmonie, de chant et de déclamation sont annoncés pour un avenir prochain.
Début décembre 1917, les cours sont suspendus au Collège Saint-Louis de Waremme, pour manque de charbon. Ils ne reprendront qu’en mars 1918.
En 1916 et 1917, MAQUOY Jos. devient répétitrice de cours pratiques d’ambulancière, à Waremme.
En 1895, WAUTERS Joseph, qui termine brillamment sa rhétorique à l’Athénée Royal de Liège, s’inscrit à l’Université de Liège, en physique – chimie.
Durant les trajets en train pour assister aux cours, il côtoiera les ouvriers des villages de la région de Waremme, qui se rendent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois.