Vente du retable de l’église (Hodeige)

Vers 1841 (?), le retable en bois sculpté de l’église de Hodeige est vendu, probablement à un antiquaire.

Il a été réalisé sous le pastorat du curé DE MOMALLE Guillaume. Il a coûté 55 florins (monnaie d’or). Il provenait de Léau.

Ce retable en chêne sculpté est peint et doré très finement. On peut y voir un grand nombre de personnages, dont plusieurs à cheval. Des pentures en fer forgé révèlent l’existence de volets.

Des statues pour l’église (Hodeige)

Vers 1503 (?), Maître LE PONDEUR Antoine et son fils, LE PONDEUR Martin, fournissent à l’église de Hodeige un Christ en Croix Triomphal avec les deux statues de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Sur la « trabes », ils doivent peindre, en outre, les figures des 12 apôtres (probablement en buste seulement). Ils s’engagent à faire le tout pour 38 florins.

Statue de Saint-André (Hodeige)

En 1550, une statue de Saint-André, en noyer peint et doré, de style gothique, est installé à droite du chœur de l’église de Hodeige, adossée à un pilier. Elle coûte 25 florins.

Les Apôtres à Hodeige

En 1538, des statues de 10 Apôtres sont placées dans le chœur de l’église de Hodeige, sur la « trabes », à côté de celles de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Ces statues coûtent 57 florins, plus 70 florins pour leur peinture et celle des treillis.

Un tréfanon pour l’église (Hodeige)

En 1536, un « tréfanon » est installé dans le choeur de l’église de Hodeige. Il coûte la somme de 50 florins (dont 18 pour la matière première et 32 pour la main-d’oeuvre).

Par « tréfanon », il faut entendre non seulement la poutre, appelée « trabes » ou « tref », qui repose sur les 2 piliers du chœur soutenant l’arc triomphal, mais encore le calvaire, composé d’un Christ en Croix (reposant par sa partie inférieure sur la « trabes » et attaché par sa partie supérieure avec un chaîne à l’arc lui-même) et de 2 statues, de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean, posées à droite et à gauche de la Croix.

Aménagement de la Place de la Gare (Remicourt)

En 1969, l’Intercommunale de Voirie de Liège aménage la Place de la Gare à Remicourt, pour un coût de 525.000 francs.

Deux vitraux pour l’église (Remicourt)

Le 2 mai 1927, 2 vitraux avec rosace, réalisés par BART de Bruxelles, sont installés dans le transept de l’église de Remicourt. Ils représentent le baptême du Christ par JEAN-BAPTISTE, et le Christ envoyant ses disciples prêcher. LAMBOTTE Camille les protège par du treillis encadré. Les coûts sont de 12.500 francs et de 469 francs 50 centimes.

Pavement de l’accès de l’église (Remicourt)

Le 3 octobre 1923, les Entreprises PETITJEAN Joseph pavent les 86 m2 d’accès à l’église de Remicourt, pour un prix de 1.912 francs.

Camille Lambotte, forgeron (Remicourt)

Le 24 mai 1923, le forgeron LAMBOTTE Camille renouvelle le treillis de clôture (71 m x 1m50) de l’église de Remicourt et place des encadrements protecteurs aux vitraux du fond de l’édifice, pour un prix total de 600 francs.

Ornement de l’église (Remicourt)

Le 15 février 1922, un généreux donateur fait livrer à l’église de Remicourt, par la Maison BILLAUX-GROSSE de Bruxelles:

  • une paire de candélabres de 1m60 en cuivre poli
  • 2 paires de chandeliers de 25 cm, à pointe mobile, en cuivre poli
  • 2 lanternes en cuivre poli avec bâton

pour un prix total de 774 francs.