Le 16 janvier 2025, un élève de 2ème année secondaire de l’Athénée Royal de Waremme, âgé de 13 ans, de Hélecine,, agresse, au couteau de cuisine ( ou au cutter ?), une camarade de classe du même âge. Celle-ci, blessée au dos, est emmenée à l’hôpital. L’agresseur est interpellé. Il aurait agi dans le cadre d’un harcèlement scolaire, exercé depuis 3 mois. Il sera inculpé de tentative d’assassinat.
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Delle Rualle condamné à mort (Hodeige)
Le 15 avril 1565, la Cour de Justice de Hodeige condamne à mort DELLE RUALLE P. pour avoir occasionné la mort de DE MOMALLE Paquéa, en lui portant des coups de couteau. L’exécution par décapitation est pratiquée le jour même. Le corps du décapité sera livré à ses amis qui l’enseveliront au cimetière du village.
Meurtre à Berloz
Le 22 juin 2020, un père âgé de 30 ans, DI SALVO Steven, informaticien de formation, tue sa compagne, OLIVEIRA DE MELO Jessika, d’origine brésilienne, âgée de 27 ans, en l’étranglant d’une main et en lui assénant une quarantaine coups de couteau de l’autre (au niveau de la tête, du cou du thorax et dans le dos), rue de la Station à Berloz. Elle était la mère de ses quatre enfants. En couple depuis 6 ans, Il n’accepte pas sa décision de le quitter. Pendant l’agression, il lui enfonce u n stylo à bille dans les yeux pour l’empêcher de le fixer.
Il est arrêté vers 14h50 dans sa voiture, alors qu’il prend la ditection de Saint-Trond.
Vincent Leduc, blessé (Crisnée – France)
En octobre 1915, LEDUC Vincent, de Crisnée, affecté à la boucherie de la 3ème Division, est blessé d’un coup de couteau au genou. Il sera transféré à Avranches (via Calais et Rennes), par un train de la Croix-Rouge.
Condamnation de Delle Ruelle (Hodeige)
Le 15 avril 1565, la cour de justice de Hodeige condamne DELLE RUELLE P. à avoir la tête tranchée, pour avoir tué DE MOUMALE Pacquéa à coups de couteau. Il sera exécuté par GERMAIN et enterré dans le cimetière du village.
Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)
Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Cette sanction est maintenant définitive.
MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE
Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).
Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):
- l’avertissement,
- le blâme,
- la retenue de traitement,
- la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
- la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
- la démission d’office,
- la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).
Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)
Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.
Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.
Reconstitution du meurtre de Peter Clooten (Waremme)
Le 6 novembre 1987, la reconstitution du meurtre de CLOOTEN Peter est organisée par la juge d’instruction REYNDERS Danielle, sur les lieux du drame, au café » la Cafétéria », au numéro 40 de la rue Joseph Wauters à Waremme.
Comment les faits se sont-ils déroulés ?
Le vendredi 20 mars 1987, CLOOTEN Peter, un peu éméché, aurait cherché noise à plusieurs consommateurs de l’établissement. Malgré les remarques qui lui auraient été adressées, il aurait continué à la faire. Il aurait fait mine de passer derrière le comptoir, sans tenir compte des recommandations de s’en aller du patron du bistrot, BURTON Francis. Ce dernier aurait pris peur (CLOOTEN Peter pèse une centaine de kilos) et aurait saisi un couteau, avec lequel il aurait frappé CLOOTEN Peter une dizaine de fois au ventre.
A l’issue de la reconstitution, BURTON Francis est arrêté et inculpé de meurtre.
Arrestation dans l’enquête sur la mort de Claudine Lewillon (Waremme)
Le 16 décembre 2013, MARDAGA Marcelle, l’ex belle-fille de LEWILLON Claudine, retrouvée morte le 14 décembre, avoue le meurtre et est placée sous mandat d’arrêt.
MARDAGA Marcelle, âgée de 44 ans, avait entamé une relation avec le fils de la victime en août dernier. La rupture est survenue en octobre. L’après-midi du drame, elle a eu une altercation avec son ex-compagnon et a utilisé contre lui un spray au poivre.
LEWILLON Claudine s’est alors rendue chez son ex belle-fille et c’est à cette occasion que MARDAGA Marcelle l’a frappée à coups de couteau. LEWILLON Claudine a rebroussé chemin, mais est décédée de ses blessures avant de pouvoir regagner son domicile. Elle serait morte d’une hémorragie abdominale.
Meurtre à Waremme
Le 20 mars 1987, BURTON Francis, qui exploite le café « La Cafétaria » au n° 40 de la rue Joseph Wauters à Waremme, tue un client, CLOOTEN Peter, à coups de couteau dans son établissement.
A l’aide de sa compagne et de deux clients, il tente d’éliminer les traces du crime, avant d’appeler l’ambulance en déclarant que la victime s’était faite attaquée à l’extérieur et s’était réfugiée ensuite dans le café.