En 1763, ART (?) Marie-Catherine est couturière à Waremme. Elle est l’épouse de JEUNEHOMME Jacques, cocher à Liège.
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Catherine Louvisse, couturière (Waremme)
En 1763, LOUVISSE Catherine-Joseph est couturière à Waremme. Elle a 2 ouvrières. Son mari est le menuisier HENNIN François.
François Hennin, menuisier (Waremme)
En 1763, HENNIN François est menuisier à Waremme. Il a 3 ouvriers. Son épouse est LOUVISSE Catherine-Joseph, couturière. Elle a 2 ouvrières.
Ils habitent avec:
- GOBIN Guilleaume, ouvrier menuisier, âgé de 25 ans.
Marie-Anne Hovent, couturière (Waremme)
En 1763, HOVENT Marie-Anne est couturière. Elle est âgée de 24 ans. Elle habite chez ses parents. Son père, HOVENT Joseph, maréchal-ferrant, est conseiller à Waremme.
On recherche Henriette Perqui et les soeurs Servais (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis et de l’atelier de couture PERQUI, rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs qui ont extrait JOIRQUIN Dédée des décombres sont épuisés. D’autres prennent le relais pour retrouver PERQUI Henriette, MALAXHE (MALASCHE) Marie, SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette, qui se trouvaient également dans cet immeuble. Ses sauveteurs sont:
- LANDRAIN André
- MOËS François
- MAHIELS Arnold
- DENGIS Alfred
- LEGROS Camille
Après de longues et pénibles recherches, ils dégagent successivement les corps sans vie de:
- SERVAIS Odette
- PERQUI Henriette
- MALAXHE (MALASCHE) Marie
- SERVAIS Georgette
Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.
DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.
D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.
En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.
Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !
Charles Joirquin, concierge (Waremme)
En 1944, JOIRQUIN Charles est le concierge de la Brasserie « RENIER », située rue Emile Hallet à Waremme. Il est le père de JOIRQUIN Dédée, « cousette » chez la couturière PERQUI Henriette.
Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.
- La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
- Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
- La maison « RENIER » est détruite.
- La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
- Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
- La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.
L’atelier de couture « Perqui (Waremme)
Le 28 août 1944, PERQUI Henriette et ses trois jeunes employées (JOIRQUIN Dédée, SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette) travaillent à l’étage de l’atelier de couture de la rue Gustave Renier à Waremme. Au rez-de-chaussée, MALAXHE Marie prépare le repas.
Odette et Georgette Servais, cousettes (Waremme)
En juin 1940, les soeurs SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette sont « cousettes » chez la couturière PERQUI Henriette, dont l’atelier est situé à l’entrée de la rue Gustave Renier, à Waremme.
Elles habitent à la rue du Pont, en face du cimetière. Elles passent, habituellement, leur dimanche à l’Institut des Filles de la Croix, avec le groupe « Les Joyeuses ».