En 1965, JACOB Freddy exploite une agence du Crédit Communal de Belgique, au n° 6 B de l’Avenue Guillaume Joachim à Waremme.
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Paul Petitjean, banquier (Remicourt)
Le 1er octobre 1968, une première agence du Crédit Communal de Belgique est ouverte rue du Ruisseau, à Remicourt. Le gérant est PETITJEAN Paul.
La commune emprunte (Remicourt)
Le 6 mars 1918, le Conseil Communal de Remicourt souscrit un emprunt de 26.500 francs, au Crédit Communal, pour rembourser les dépenses de première nécessité:
- le ravitaillement de la population
- l’aide au Bureau de Bienfaisance
- l’achat de vêtements
- la soupe générale et la soupe scolaire
- l’aide aux nourrissons
Pavement des cours des garçons (Crisnée)
Le 23 avril 1938, le conseil communal de Crisnée décide le pavement et l’aménagement des cours de l’école des garçons. Un emprunt de 10.000 francs, remboursable en 15 annuités de 667 francs, sera sollicité auprès du Crédit Communal.
Travaux à l’école (Crisnée)
En février 1939, le conseil communal de Crisnée emprunte 10.000 francs au Crédit Communal pour paver les cours de l’école des garçons et pour construire des toilettes. Jusque-là, les cours étaient en cendre compactée.
L’Agence du Crédit Communal (Waremme)
En 1990, la SNC « Castel – Mathy » exploite l’agence du Crédit Communal située au n° 15 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Les campagnes électorales (Waremme – Belgique)
En mars 1978, le Crédit Communal de Belgique propose une exposition consacrée aux campagnes électorales à Waremme.
Waremme emprunte
En février 1918, le conseil communal de Waremme emprunte 125.000 francs au Crédit Communal pour:
- acheter des pommes de terre et de la viande
- subventionner la culture des biens communaux
- subventionner le Comité local d’Alimentation
- subventionner le Bureau de Bienfaisance
Waremme emprunte
En 1917, le conseil communal de Waremme emprunte 115.000 francs au Crédit Communal.
Waremme emprunte
En 1916, JOACHIM Guillaume convainc le conseil communal de Waremme de contracter des emprunts auprès du Crédit Communal, remboursables après la guerre. C’est ainsi que 35.000 francs sont empruntés pour assurer le secours alimentaire de la population, les allocations pour les chômeurs involontaires et les missions du Bureau de Bienfaisance.