En 1812, 1813 et 1814, DE PITTEURS-BUDDINGEN (?) est commissaire-spécial à Crenwick. Son adjoint est PLOMTEUX A.
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Les maires du Canton de Waremme
En 1814, les maires du Canton de Waremme et leur adjoint sont:
- Bergilez: GERMEAU L. (maire), LEONARD H. (adjoint)
- Berloz: DE PITTEURS-BUDDINGEN (commissaire-spécial), LAMBERT G. (adjoint)
- Bettincourt: VANDERMEER H.C. (maire), MARTENS J.F. (adjoint)
- Bleret: GELENNE P.L. (maire), MOES A. (adjoint)
- Boelhe: DE PITTEURS-BUDDINGEN (commissaire-spécial), DELAHAUT A. (adjoint)
- Bovenistier: ROSILIER G. (commissaire-spécial), BOURGUIGNON J.-J. (adjoint)
- Celles: DE BOUSSEMART H.J. fils (maire), RENARD N. (adjoint)
- Crenwick: DE PITTEURS-BUDDINGEN (commissaire-spécial), PLOMTEUX A. (adjoint)
- Darion: TOMBEUR N. (commissaire-spécial), STASSE G. (adjoint)
- Donceel: DE CHESTRET (maire), PIRE G. (adjoint)
- Geer: DE FAVEREAU A. F. (maire), LATINE J. H. (adjoint)
- Grand’Axhe: DELAHAUT J. F. (commissaire-spécial), LOUIS J. J. (adjoint)
- Grandville: LAMBERMONT L. (maire), LEONARD G. A. (adjoint)
- Hodeige: PASQUES D. (maire), LATOUR G. (adjoint)
- Hollogne-sur-Geer: DELAHAUT J. F. (maire), DELVAUX N. (adjoint)
- Lamine: BRASSINE J. (maire), STREEL Ant. (adjoint)
- Lantremange: NAVEAU P. (maire), MACAR J. (adjoint)
- Lens-sur-Geer: STASSART F. P. (maire), LOUETTE J. (adjoint)
- Ligney: TOMBEUR N. (maire), CARTHUYWELS P. G. (adjoint)
- Limont: ROSILIER J. J. F. (maire), HENRARD J. C. (adjoint)
- Oleye: HENRARD G. (maire), DEMOULIN N. N. (adjoint)
- Omal: COLON A. (maire), POLET A. C. J. (adjoint)
- Oreye: LAMBERMONT L. (commissaire spécial), LEBURTON J. F. L. (adjoint)
- Pousset: GELENNE P. L. (commissaire-spécial), RIGO B. (Adjoint)
- Remicourt: POES S. J. (maire), LAMARCHE G. L. (adjoint)
- Rosoux: DE PITTEURS-BUDDINGEN (maire), KEMPENERS G.L. (adjoint)
- Viemme: JAMOTTE N. J. (maire), STREEL François (adjoint)
- Waremme: FRERARD G. J. (maire), LEJEUNE C. M. J. (adjoint)
Rénovation de l’église de Crenwick (Berloz)
En 1974, des travaux de rénovation sont entrepris à l’église Saint-Laurent de Crenwick (Berloz).
Reconstruction de l’église Saint-Laurent (Berloz – Crenwick)
En 1873 et 1874, l’église Saint-Laurent de Crenwick (Berloz), chapelle auxiliaire, est reconstruite avec les économies de la Fabrique d’Eglise de la paroisse.
L’église Saint-Laurent en flammes (Berloz- Crenwick)
Le 22 avril 1989, l’église Saint-Laurent de Crenwick (Berloz) est la proie des flammes. Les dégâts sont estimés à plus de 20 millions de francs. Elle sera complètement restaurée, notamment, au moyen de vitraux provenant du collège Saint-Louis de Waremme.
Les vicaires desservant les succursales, dépendant de la paroisse Saint-Pierre de Waremme
En 1823 , les vicaires dépendant du doyen de Waremme sont :
- DE SART E.C. (Bergilez)
- HOEKENZIELS H.F.J. (Berloz)
- MAHIEU A.J. (Boelhe)
- DE LEUZE J.L. (Celle)
- MISSOUL D. (Darion)
- CONSTANT F.L.J. (Hollogne-sur-Geer)
- PILET J.P. (Lamine)
- TROIGNEE P.N. (Lantremange)
- WATHOUR P. (Limont)
- BOULANGER J. (Oleye)
- MOREAU A.B. (Oreye)
- ROUCHE J.H. (Bettincourt, Bleret, Bovenistier, Crenwick)
- HANSOTTE J.J. (Donceel, Geer, Grandaxhe, Grandville)
- ISTAZ L. (Hodeige)
- SWEEK R.G. (Lens-sur-Geer, Omal)
- BORMANS J. (Rosoux)
- LAURENT H.J. (Remicourt)
- DU MONT H.T. (Viemme)
Les prêtres doivent prêter serment de fidélité à la République (Waremme – France)
Le 5 septembre 1797 (19 fructidor de l’An V), un décret du Directoire impose aux ecclésiastiques un « serment de haine à la royauté et de fidélité à la République ». Les réfractaires feront l’objet d’une répression brutale.
Cette exigence divise le clergé waremmien. Le vicaire, DANGLEUR Michel, qui est aussi curé de Berloz (?), refuse de prêter ce serment, alors que le curé DESHAYE Gérard-Joseph accepte. Une chasse aux prêtres non assermentés est organisée dans le canton de Waremme. Ainsi, les curés de Crenwick, de Boëlhe, de Rosoux, de Darion, d’Omal, de Geer, de Grand-Axhe, de Bovenistier, de Donceel, de Hodeige, de Pousset, de Bleret, de Bergilers, de Hollogne-sur-Geer, de Limont et de Viemme.
Beaucoup de prêtres réfractaires se cacheront pour éviter la déportation. Néanmoins, 8000 d’entre-eux ne pourront y échapper et seront envoyés à Oléron, à l’île de Ré ou en Guyanne. Cependant, s’ils sont âgés ou infirmes, ils seront simplement mis sous surveillance