La Croix-Rouge de Belgique veut connaître la situation du Pays

Le 1er mars 1915, le Bourgmestre de Waremme JOACHIM Guillaume, faisant fonction suite à la fuite du titulaire, répond à questionnaire de la Croix-Rouge, qui désire se rendre compte de la situation du pays.

Yvonne Waroux, « enseignante » (Waremme – Liège)

En janvier 1915, à la demande du Docteur SNEYERS de Liège, n’ayant pu obtenir le concours d’un médecin pour ce faire, Madame WAROUX Yvonne décide de donner le cours pratique de Croix-Rouge, en collaboration avec l’abbé Sacré, professeur au collège Saint-Louis de Waremme, qui donne le cours théorique.

Fin 1914, la Croix Rouge s’organise à Waremme

Fin 1914, le Collège Saint-Louis ouvre ses portes à la Croix-Rouge qui y installe une antenne médicale. De nombreuses Waremmiennes se mettent à son service.

La Baronne DE SELYS-LONGCHAMPS prête son auto à la Croix-Rouge pour faire office d’ambulance. Elle fournit les légumes nécessaires à assurer la subsistance de blessés. Elle offre également d’accueillir chez elle les blessés qui ne pourraient l’être à l’antenne médicale.

Gabriel Thyssen, Directeur (Waremme)

En 1914, THYSSEN Gabriel est directeur de brasserie à Waremme. Il sera actif à la Croix-Rouge de Waremme.

Le docteur Hansoul, Directeur (Waremme)

En 1914, le Docteur HANSOUL prend la direction médicale de l’antenne de Waremme de la Croix-Rouge.

Victor Léonard aide la Croix-Rouge (Waremme)

En 1914, LEONARD Victor, industriel, met son automobile à la disposition de la Croix-Rouge de Waremme. Il convoie lui-même des blessés.

L’administration de la Croix-Rouge de Waremme

En 1914, DUTILLEUX Jacques est secrétaire de l’antenne de la Croix-Rouge de Waremme, et GILLAUX Raymond, secrétaire-adjoint.

L’abbé Valentin, aumônier (Waremme – Allemagne)

En 1914, l’abbé VALENTIN fait les fonctions d’aumônier à la Croix-Rouge de Waremme. Il rend de nombreux services par sa connaissance de la langue allemande.

Le couvre-feu est imposé (Waremme – Allemagne)

Le 27 août 1914, les Allemands imposent un couvre-feu à Waremme. Les occupants interdisent aux habitants de se trouver sur la rue après 8 heures du soir. Exception est faite pour les prêtres, les médecins, les sages-femmes, les membres de la Croix-Rouge, pour autant qu’ils se trouvent dans l’exercice de leurs fonctions. Ils doivent également se procurer un laisser-passer chez le commandant de la place. Toute infraction à cet ordre est punie par une arrestation immédiate.

Les soins aux blessés s’organisent (Waremme)

Le 6 août 1914, la Croix-Rouge de Waremme prodigue des soins à plusieurs centaines de soldats belges : pansements provisoires pour certains et hospitalisation pour les plus atteints. Les locaux du Collège Saint-Louis deviennent rapidement trop exigus. Il faut transporter une partie des hospitalisés aux centres secondaires « DE SELYS-LONGCHAMPS » et « WAROUX ».